Interview de Germaine Tillion par Jorge Amat portant essentiellement sur la période 1940-1944.

Photographie du bureau et de la bibliothèque de Germaine Tillion à son domicile de Saint-Mandé.

Incarcérée à Fresnes, Germaine Tillion parvient à établir une correspondance avec son amie Marcelle Monmarché en écrivant sur des petites bandes de tissus dissimulées dans la doublure de ses vêtements, eux-mêmes disposés à l’intérieur de colis autorisés entre la prison et l’extérieur. 

Germaine Tillion et sa mère, Emilie, à Madiran, en juin 1940

Germaine Tillion, lors d'une de ses missions avec les Touaregs, dans les années 1970

En juin 1957, alors que la « bataille d'Alger » dure depuis cinq mois, David Rousset obtient de Guy Mollet une autorisation de visite des lieux de détention en Algérie. La Commission envoie en Algérie cinq personnes, dont Germaine Tillion et Louis Martin-Chauffier (qui ne doivent pas participer à la rédaction du rapport) et trois étrangers. La mission dure du 18 juin au 3 juillet.

Article extrait de "Voix et visages", n°53, septembre 1956

Alors qu'elle se trouve à Ravensbrück, Germaine Tillion rédige, en cachette, de fausses recettes de cuisine dont le but est d’écrire le nom des responsables nazis rattachés à ce camp de concentration.

Lettre du Comité central de la Croix Rouge suédoise datée du 18 juillet 1945 accompagnée de la liste des réfugiés d'Allemagne arrivés en Suède suite à l'intervention de la Croix Rouge suédoise. Sur cette liste figure le nom de Germaine Tillion.

Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle lors de la remise de la Grand Croix de la Légion d'honneur à Germaine Tillion. En arrière-plan, Anise Postel-Vinay.