La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Devenu une figure de la Résistance juive, Jacques Lazarus entre dans la Résistance à Lyon en 1942. En janvier 1943, il rejoint l'Armée juive dont il devient l'un des principaux responsables de l'instruction militaire des jeunes recrues. En novembre 1943, il est l'un des fondateurs des maquis de l'Armée juive dans le Tarn. Chargé d'une nouvelle mission par l'Armée juive, devenue entre temps l'Organisation juive de Combat, il se rend à Paris où il est arrêté le 17 juillet 1944. Déporté le 17 août 1944 par le dernier convoi à quitter la gare de Bobigny, Jacques Lazarus s'évade du train avec plusieurs de ses camarades.
© Service historique de la Défense Droits réservésCarte de membre du Service social des Jeunes de Denise Siekierski.
Membre actif de la Sixième, l'organisation clandestine mise en place par les Eclaireurs istaélites de France, Denise Siekierski rejoint en juillet 1943 à Marseille le Service André créé par Joseph Bass. Devenue son bras droit, elle rejoint le maquis juif du Chambon-sur-Lignon en qualité d’instructeur militaire au printemps 1944.
Membre de la direction régionale parisienne des jeunes communistes juifs de la MOI, Robert Endewelt est nommé en mars 1943 à la direction parisienne de l’Union de la Jeunesse Juive. Au printemps 1944, il est chargé avec d’autres militants d’organiser des milices patriotiques juives dans la capitale.
© Cliché fourni par Frédéric Dabouis pour le Maitron Droits réservésCarte de légitimation de Emmanuel Lefschetz, établie par l'Union générale des israélites de France zone nord (recto-verso).
La carte de légitimation établie par l’UGIF permet à son détenteur de ne "pas être inquiété en sa qualité de Juif et [d’être] tenu en dehors d'éventuelles mesures d'internement. Cette mesure s'étend à sa famille demeurant avec lui". Ce document a permis à Emmanuel Lefschetz, comme à d’autres membre de la Sixième de bénéficier d’une couverture légale pour leurs actions clandestines.
Stèle se trouvant au lieu dit « Usillon » sur la commune de THORENS-GLIÈRES sur la D55 à l’intersection qui prend le chemin du Landron
© Cliché Fabien Lafon Droits réservésLe drapeau de la 5e compagnie Rayman du bataillon 51/22 est aujourd’hui conservé au Mémorial de la Shoah.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésCarte de membre du Groupement national des réfractaires et maquisards (section du XIVe arrondissement de Paris) délivrée le 20 juin 1945 à André Schwarz-Bart.
© Collection Francine Kaufman Droits réservésOctobre 1944, quelques hommes de la compagnie juive "Paul Frydman" à Lavaur (canton de Villefranche-du-Périgord), la veille de leur départ pour le front de La Rochelle. Au centre, au fond, Léon Lichtenberg (dit Phil).
© Yad Vashem Droits réservés