La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Fausse carte d’identité de Jules Carrez au nom de Jean Courtot.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésInstituteur à Valentigney et dans le pays de Montbéliard (Doubs), animateur du courant pédagogique de l’École émancipée et syndicaliste, Jules Carrez (1903-1985) est un des responsables du mouvement Libération-Nord en Franche-Comté, membre du Comité départemental de la Libération. En 1944, il recrute parmi ses anciens élèves de jeunes maquisards volontaires pour le maquis du Lomont (Doubs). Habitude professionnelle : il demande aux parents des jeunes gens mineurs recrutés de signer une autorisation de départ au maquis.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésLettre de l'Inspecteur d'académie primaire du Jura occupé en date du 23 août 1941 adressée à Mme Gautheron, institutrice et directrice de l’école de Saint-Ylie (Jura), lui signifiant sa cessation de fonction et ses droits à la retraite à compter du 1er octobre 1941. Cette mise à la retraite d’office est la conséquence des engagements socialistes (SFIO) de Mme Gautheron avant 1939.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésValise contenant un "nécessaire de faussaire", utilisée par la Délégation générale en métropole du Comité Français de la Libération nationale (siégeant à Alger).
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésVue de l'ensemble des cartons et fichiers composant le fonds Germaine Tillion du Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésAlors qu'elle se trouve à Ravensbrück, Germaine Tillion rédige, en cachette, de fausses recettes de cuisine dont le but est d’écrire le nom des responsables nazis rattachés à ce camp de concentration.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésIncarcérée à Fresnes, Germaine Tillion parvient à établir une correspondance avec son amie Marcelle Monmarché en écrivant sur des petites bandes de tissus dissimulées dans la doublure de ses vêtements, eux-mêmes disposés à l’intérieur de colis autorisés entre la prison et l’extérieur.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésDernière lettre de Marcel Simon avant son exécution, le 26 septembre 1943, à la Citadelle de Besançon.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésAffiche bilingue allemand-français.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésStèle de Maîche en souvenir de cinq maquisards assassinés le 19 février 1944
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