Le 16 octobre 1943, Jean Chauvet est transféré avec la quasi-totalité des détenus politiques de la zone Sud à la Centrale d’Eysses où il aura des responsabilités dans les Jeunesses communistes. Au cours de l’insurrection du 19 février 1944, il est en première ligne mais sa mitraillette s’enraie. Reconnu comme ayant pris part activement aux combats, Chauvet est jugé par une cour martiale réunie à Eysses, condamné à mort et fusillé le 23 février 1944.
Fabrice Bourrée
Article paru dans Midi Libre, organe du Mouvement de Libération nationale, 27 novembre 1944.
Genre : Image Type : Article de presse
Source : © Archives départementales du Gard, JR32/1 - Droits réservés
Article de presse
Date document : 27 novembre 1944