Militant communiste Jean Vigne entra dans la clandestinité, partit en janvier 1942 pour Marseille puis en Savoie afin d'organiser des groupes francs. Arrêté sur dénonciation, il fut emprisonné, jugé et condamné à 10 ans de travaux forcés et transféré à la centrale d'EYSSES (Lot et Garonne). A la suite de la tentative d'évasion collective des résistants incarcérés dans cette centrale, il fut condamné par un tribunal d'exception et fusillé par les GMR le 23 février 1944. Il avait 32 ans.
Mémoire et Résistance dans le Gard
Sépulture de Jean Vigne, résistant communiste, fusillé à Eysses le 23 février 1944
Genre : Image Type : Sépulture
Source : © Mémoire et Résistance dans le Gard - Droits réservés
Photographie numérique en couleur
Date document : 2016