Ponts détruits ou endommagés pendant la guerre 1939-1945
Légende :
Croquis situant les principaux ponts routiers et ferroviaires détruits ou endommagés pendant la guerre 1939-1945
Genre : Image
Producteur : Alain Coustaury
Source :
Détails techniques :
Sur la carte de la géographie physique de la Drôme, relief et cours d'eau, les ponts routiers ou ferroviaires endommagés pendant le conflit ont été marqués.
Lieu : France - Auvergne-Rhône-Alpes (Rhône-Alpes) - Drôme
Analyse média
Sur la carte de la géographie physique de la Drôme, relief et cours d'eau, les ponts routiers ou ferroviaires endommagés pendant le conflit ont été marqués. Le croquis n'est pas exhaustif. Des petits ouvrages détruits franchissant des ruisseaux ne sont pas signalés. On remarque que tous les ponts franchissant le Rhône ont été soit partiellement, soit totalement détruits. Seul le pont ferroviaire de Peyraud a été épargné. Ce serait le seul ouvrage franchissant le Rhône entre Lyon et la mer qui n'aurait pas été détruit. Les ponts routiers de l'Isère drômoise ont été, à une période ou à une autre de la guerre, endommagés ou détruits. Il en est de même pour ceux de la rivière Drôme. Au premier septembre 1944, date de la libération du département, la situation en ce qui concerne les ouvrages d'art franchissant les cours d'eau est catastrophique.
Alain Coustaury
Contexte historique
Le département de la Drôme est drainé par un réseau hydrographique qui le cloisonne en plusieurs bassins. Dans le Rhône, de direction méridienne; se jettent des rivières grossièrement orientées est-ouest. Les deux principales sont l'Isère et la Drôme. Du point de vue militaire cette disposition a d'importantes conséquences stratégiques.
En 1940, en juin, alors que la Wehrmacht déferlait vers le sud de la France, pour ralentir son avance, l'état-major français décida de faire sauter les ponts sur le Rhône depuis Andancette jusqu'à Valence. Il fit de même sur l'Isère et la Drôme, considérant ces deux rivières comme des points d'appui pour une ligne de défense ultime.
En août 1944, pour ralentir la poussée de l'US Army et des soldats de de Lattre de Tassigny, la Wehrmacht pratiqua la même tactique tout le long du Rhône et sur les rivières drômoises. À ces destructions totales ou partielles, il faut ajouter celles occasionnées par les bombardements, plus ou moins précis, qui ont préludé au débarquement de Provence le 15 août 1944, pour « encager » les arrières de l'opération. La Résistance sabota également plusieurs ouvrages pour désorganiser les communications de la Wehrmacht. Les ponts drômois subirent donc de nombreuses attaques et très peu furent épargnés pendant le conflit.
Un seul traversa intact la guerre. Ce fut celui de Peyraud. C'est un pont ferroviaire qui permet de faire transiter les trains de la rive gauche à la rive droite du Rhône à partir de la gare de Saint-Rambert d'Albon. Il aurait été le seul pont intact entre Lyon et la mer. Il fut donc très utilisé par les trains mais également par les convois routiers militaires de l'US Army. Dès septembre 1944, le dépôt de gravier sur le tablier permit le passage d'une rive à l'autre. Cette possibilité était d'autant plus intéressante que les ponts routier de la RN 7 et ferroviaire du Dolon avaient été détruits par la Wehrmacht qui se repliait vers Lyon.
À la libération de la Drôme, le 1er septembre 1944, l'état des ponts est donc catastrophique. Les ponts détruits en 1940 avaient été soit reconstruits partiellement, soit remplacés par des moyens de fortune. Les combats de la libération avaient souvent annihilé tous ces efforts de reconstruction. Pour faire face aux indispensables et vitaux besoins de transport, plusieurs solutions ont été apportées pour franchir fleuve et rivières. De petits cours d'eau sont traversés, quelque temps, à gué. L'auteur a le souvenir d'avoir passé à gué le Lez au pont de Montségur-sur-Lauzon. Des passerelles sont jetées sur la Drôme à Allex, Aouste-sur-Sye, Saillans. Mais cette rivière au régime méditerranéen a des crues brutales telles que la passerelle est emportée.
En ce qui concerne le Rhône, le problème est tout autre. Sa largeur, son débit sont tels qu'il n'est pas question de le traverser à gué, même si à certains endroits, aux seuils et en étiage, on pouvait le tenter. Il a fallu envisager des solutions plus complexes et plus longues à réaliser. L'utilisation de barques permit le passage de personnes. Mais cela était insuffisant. Le bac à traille a été un moyen relativement puissant et sûr pour assurer la traversée d'un nombre important de passagers voire de véhicules légers. On peut prendre l'exemple du pont de Valence-sur-Rhône pour résumer l'histoire des péripéties de la traversée du Rhône au niveau du chef-lieu du département. Le 20 juin 1940, devant l'avance allemande, le Génie fait sauter deux arches de la rive gauche du pont de pierre construit en 1905. Ce sont les barques des Sauveteurs de Enfants du Rhône qui assurent, tout de suite, les premières traversées. Un pont du génie, rapidement installé, est emporté le 8 juillet. Le 3 août 1940, un bac à traille commence à fonctionner. La fin de 1940 voit les travaux de l'établissement d'un pont Pigeaud. Il est inauguré le 1er mai 1941 et après divers avatars durera jusqu'en 1949. Dans le même temps, la reconstruction du pont est entreprise. Mais le bombardement, par l'USAAF, du 15 août 1944 qui vise le pont est imprécis et surtout détruit un quartier de la ville causant la mort d'environ 280 personnes. Ce sont les bombardiers de la RAF le 18 août qui détruisent 2 arches de la rive droite faisant aussi s'effondrer la partie du pont Pigeaud qu'elles soutenaient. La liaison entre les deux rives est à nouveau interrompue. Le bac à traille reprend du service mais il est coulé par une crue du fleuve. Un vieux bateau à vapeur, le Pilotin est alors mobilisé pour assurer le passage. On entreprend la restauration en ripant un double pont Pigeaud. Ce n'est que le 15 mars 1945 que la circulation est rétablie. La construction d'une passerelle provisoire est entreprise sur l'emplacement de la passerelle de 1830. Elle sera mise en service en 1949 et ce jusqu'en 1966, date de l'inauguration du pont Frédéric Mistral établi sur l'emplacement du pont de pierre de 1905. L'histoire des ponts de Valence résume parfaitement l'aspect stratégique de ces ouvrages, les difficultés de la vie quotidienne pendant la guerre, les enjeux militaires et la volonté de reconstruire après le conflit un lien indispensable entre les deux rives du fleuve. Les autres ponts sur le Rhône ont subi les bombardements liés à la préparation du débarquement de Provence. Comme à Valence, l'imprécision a causé de nombreuses victimes (Pont-de-l'Isère, Saint-Vallier, Crest). L'histoire des ponts unissant Romans-sur-Isère et Bourg-de-Péage a beaucoup de points communs avec celle de Valence. Détruits en juin 1940, reconstruits partiellement pendant l'occupation, ils l'ont été également en août 1944 par les Allemands lors de leur retraite.
La Résistance est à l'origine de la destruction de plusieurs ponts (pont de Crozes, de Saint-Paul-lès-Romans sur les voies ferrées). La plus spectaculaire et efficace est celle du pont de Livron sur la Drôme dans la nuit du 16 au 17 août 1944. Sans arrêter la retraite allemande, la destruction d'une arche a largement contribué au ralentissent de celle-ci et a favorisé les interventions aériennes et terrestres de l'US Army. Le sabotage réalisé par le commando Henri Faure est complété, en amont, par ceux de la Grenette et du Rif Noir. Ils ont été l'oeuvre de la compagnie Pons. Ces destructions de ponts rendent encore plus difficile la circulation sur un réseau routier médiocre.
On n'a cité que quelques exemples de l'histoire des ponts drômois. Le croquis révèle leur grand nombre et laisse deviner les difficultés des Drômois pour se déplacer, pour assurer leur ravitaillement, ce qui entrave aussi la reprise économique après la Libération. L'importance des ponts routiers ou ferroviaires est bien démontrée par l'abondance des photographies qui ont été prises après leur destruction ou leur endommagement. Il en est de même de leur reconstruction, symbole du renouveau de la France après la guerre.
Coustaury Alain Sources : photographies de Mémoire de la Drôme
Pont routier de la route nationale 7 sur le Dolon (Isère)au nord de Saint-Rambert d'Albon. Pont détruit quelques heures avant l'arrivée de l'US Army en septembre 1944.
Mémoire de la Drôme 17 MD COS 3 ©
Pont ferroviaire sur le DolonPont ferroviaire de la ligne Lyon Marseille sur le Dolon (Isère)détruit en 1944 ; à quelques centaines de mètres au nord de Saint-Rambert d'Albon.
Mémoire de la Drôme 17 MD COS 2 ©
Pont ferroviaire de Peyraud sur le RhônePont ferroviaire de Peyraud (Ardèche) reliant les deux lignes de chemin de fer longeant le Rhône. Seul pont intact de Lyon à la mer en septembre 1944. Transformé quelque temps en pont routier.
Mémoire de la Drôme 17 MD Cos 1 ©
Pont ferroviaire de Peyraud sur le RhôneLe pont ferroviaire de Peyraud transformé en pont routier ; emprunté par un convoi militaire de l'US Army
Mémoire de la Drôme 17 MD RID3
Pont ferroviaire de Peyraud sur le RhônePont ferroviaire de Peyraud transformé en pont routier.
Mémoire de la Drôme 17 MD CLE 9
Pont sur le Rhône à AndancettePont sur le rhône reliant Andancette à Andance (Ardèche). Détruit en 1940 et 1944.
Mémoire de la Drôme 29 MD VALER 11
Pont routier de Saint-VallierVu de la rive gauche du Rhône, le pont suspendu détruit en 1940 pour ralentir l'avance allemande. Remarquer la légende : guerre 1939-1940 : imprécision.
Sources : Mémoire de la Drôme 17 MD ANT 1295 ©
Pont routier de Saint-VallierPont suspendu routier de Saint-Vallier détruit par l'USAAF en 1944.
Sources : Mémoire de la Drôme 17 MD CHA 4
Pont routier de Saint-VallierVestiges du pont détruit ; rive gauche, quai du Rhône à Saint-Valier
Sources : Mémoire de la Drôme 17 MD CHA 5
Pont routier de Tain-TournonPont routier entre Tain et Tournon ; détruit par la Résistance pour freiner la retraite allemande en août 1944. Le Rhône est dominé par la colline portant le vignoble de l'Hermitage.
Sources : Mémoire de la Drôme 17 MD VIAL 2
Pont routier Pont de l'IsèrePont routier de la RN7 enjambant l'Isère, détruit en 1940 par l'armée française et en 1944 par l'armée allemande. En cours de reconstruction en 1945 ; pont provisoire Bailey.
Sources : Mémoire de la Drôme 17 MD BILLI 49
Pont ferroviaire de Pont de l'IsèrePont ferroviaire enjambant l'Isère ; endommagé en 1940 par l'armée française, détruit en 1944 par l'armée allemande.
Sources : Mémoire de la Drôme 17 MD BILLI 51 ©
Pont en pierre de 19051905 : achèvement de la construction du pont en pierre sur le Rhône ; à ses côtés , en amont le pont suspendu de 1830 ; au premier plan, une embarcation amarrée au port fluviale situé en aval des ponts, sur la rive gauche du fleuve. Le pont en pierre est détruit en 1940, 1944. Il est remplacé par un pont provisoire établi sur l'emplacement de la passerelle de 1830. En 1966, ce pont est remplacé par le pont Frédéric Mistral établi sur l'emplacement du pont de pierre de 1905
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MD POMM 1051 Date : 1903 ~ 1905
Pont de ValenceBac à traille pour traverser le Rhône entre Valence et Granges-lès-Valence - Guilherand. Le pont a été détruit par l'armée française en 1940 ; photo prise avant l'installation d'un pont Pigeaud ; sur la rive droite, la colline de Crussol.
Sources : ADD fonds Vincent-Beaume ©
Pont de ValenceInauguration du pont Pigeaud le 1er mai 1941.
Sources : Mémoire de la Drôme 17 MD TRU 11 ©
Le pont détruitLe pont détruit après les bombardements d'août 1944 par l'USAAF et surtout la Royal Air Force. Photo prise depuis la rive droite. Le pont Pigeaud s'est effondré.
Sources : Mémoire de la Drôme 29 MD BOISSO 45 ©
pont détruitDestruction par un bombardement de l'aviation anglo-américaine le 18 août 1944, des deux arches (côté rive droite) du pont en pierre sur le Rhône ainsi que de l'extrémité de la travée centrale du pont Pigeaud ; à l'arrière-plan, Granges lès Valence sur la rive droite ardéchoise.
Sources: Mémoire de la Drôme ; 29 MD BOISSO 46
Le "Pilotin"À la suite de la destruction du pont par l'USAAF et la RAF, un vieux bateau à vapeur, à roues à aubes, le "Pilotin" assure une traversée du Rhône à de nombreux passagers, souvent équipés de vélos.
Sources : Mémoire de la Drôme, 29 MD BOISSO 47
Le "pilotin" traverse le RhôneAprès avoir embarqué uniquement des passagers, le "pilotin" se dirige vers la rive droite du Rhône, en aval du pont détruit.
Sources : Mémoire de la Drôme 17MD BOYA 49 ®
Reconstruction du pontAprès la destruction par un bombardement de l'aviation anglo-américaine, le 18 août 1944, des deux arches côté rive droite du pont de pierre sur le Rhône, travaux de réparation : lancement sur la brèche côté Ardèche (rive droite) des ponts Pigeaud installés en 1941, côté Drôme (rive gauche) après diverses réparations aux parties métalliques endommagées.
Sources : Mémoire de la Drôme ; 29 MD BOISSO 51
La traversée est restauréeAprès la destruction par un bombardement de l'aviation anglo-américaine, le 18 août 1944, des deux arches côté rive droite du pont de pierre sur le Rhône, travaux de réparation : achèvement de l'opération de lancement sur la brèche côté Ardèche (rive droite) des ponts Pigeaud installés en 1941 côté Drôme (rive gauche) après diverses réparations aux parties métalliques endommagées (1944-1945) : à l'arrière-plan, les bords du Rhône à Valence, sur la rive gauche.
Sources: Mémoire de la Drôme : 29 MDBOISSO 52 Date : août 1945
pont provisoireAprès l'endommagement du pont de pierre sur le Rhône par l'aviation anglo-américaine, le 18 août 1944, la construction d'un pont suspendu provisoire à l'emplacement du pont suspendu de 1830 est mise en oeuvre : construction de la pile centrale par fondation à l'air comprimé et caisson perdu.
Sources : Mémoire de la Drôme : 29 MD BOISSO 54 © Date : août 1946
pont provisoireAprès l'endommagement du pont de pierre sur le Rhône par l'aviation anglo-américaine, le 18 août 1944, la construction d'un pont suspendu provisoire à l'emplacement du pont suspendu de 1830 est mise en oeuvre : utilisation d'un pont roulant aérien pour le montage du tablier. À l'arrère-plan de la pile centrale, la cathédrale St-Apollinaire.
Sources : Mémoire de la Drôme 29 MD BOISSO 60 ® Date : juillet 1948
Pont suspenduDepuis la rive droite du fleuve,vue aérienne du pont suspendu provisoire sur le Rhône : à ses côtés, les vestiges du pont en pierre (détruit en 1944) ;les piles vont être détruites avant la construction du pont Frédéric Mistral
À l'arrière plan, la ville de Valence sur la rive gauche du fleuve ; bordure nord du parc Jouvet.
Sources : Mémoire de la Drôme : 20 MD DEV 639 © Date : août 1961
Pont Frédéric MistralChantier de construction du pont Frédéric Mistral sur le Rhône : à ses côtés le pont suspendu provisoire (construit en 1946-1949) ; à l'arrière-plan, la rive droite (vue prise de la rive gauche).
Source : Mémoire de la Drôme: 29 MD BOSC 16 ©
Date : 1967
Pont Frédéric MistralTravaux de démolition du pont suspendu provisoire sur le Rhône : à droite, en aval, le pont Frédéric Mistral.
Sources : Mémoire de la Drôme 17 MD LAMO 2 Date : 1967
Pont Frédéric MistralLe pont Frédéric Mistral, en arrière plan : Clocher de la cathédrale Saint-Apollinaire. Au premier plan, le Rhône.
Sources : Mémoire de la Drôme : 1 MD 7775 ©
Pont de LivronPont de Livron : arche sud détruite par le sabotage réalisé par le commando Henri Faure.
Pont de Livron
Mise en place d'un pont provisoire après la destruction de l'arche sud du pont de la route nationale 7 sur la rivière de la Drôme par le commando du capitaine Henri Faure dans la nuit du 16 au 17 août 1944 (vue prise côté aval).
Source : Mémoire de la Drôme : 17 MD DDE1 © Date : mars 1945
Pont de LivronMise en place d'un second pont provisoire après la destruction de l'arche sud du pont de la route nationale 7 sur la rivière de la Drôme par le commando du capitaine Henri Faure dans la nuit du 16 au 17 août 1944. Le support du premier pont est toujours présent.
Source :Mémoire de la Drôme : 17 MD DDE3 ©
Date : mai 1945
Pont de RochemaureLe pont de Rochemaure détruit lors du bombardement aérien allié du 17 août 1944.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MD PEB3 ©
Pont du TeilLe pont du Teil détruit lors du bombardement aérien allié du 13 août 1944.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MD PEB4 ©
Pont d'AllexLe pont en pierre sur la rivière de la Drôme après sa destruction, en juin 1940, pour stopper l'armée allemande ;vue vers le sud.
Sources : Mémoire de la Drôme : 29 MD COURS1 ©
Pont d'Allex-GrâneTravaux de reconstruction du pont en pierre sur la rivière de la Drôme, après sa destruction en juin 1940, pour stopper l'avancée de l'armée allemande : une passerelle provisoire a été mise en place pour le rétablissement de la circulation entre les rive gauche et droite vue prise vers le nord.
Sources : Mémoire de la Drôme : 29 MD COURS3 ©
Date : mars 1942
Pont d'AllexTravaux de reconstruction du pont en pierre sur la rivière de la Drôme après sa destruction en juin 1940 pour stopper l'avancée de l'armée allemande : à gauche, aux côtés du pont, une passerelle provisoire, mise en place pour le rétablissement de la circulation entre les rives gauche et droite.
Sources : Mémoire de la Drôme : 29 MD COURS5 © Date : 1942
Pont de la Grenette à GrâneLe pont sur le ruisseau de la Grenette après sa destruction par des Résistants de la Compagnie Pons, le 15 août 1944.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MDBOS 50
Pont de CrestLe pont en pierre sur la rivière de la Drôme, après sa destruction en juin 1940 sur les instructions de l'État Major Régional de l'armée française pour stopper l'avancée de l'armée allemande.
Source : Mémoire de la Drôme 17 MD VINCE2 © Date : 1940
Pont de CrestLes berges de la rivière de la Drôme, côté rive gauche : au second plan, la passerelle en bois construite par le 4ème Régiment du Génie, après la destruction, en juin 1940, du pont de pierre pour stopper l'avancée de l'armée allemande ; à l'arrière-plan, la ville sur la rive droite, la tour côtés sud et est.
Sources : Mémoire de la drôme : 17 MD MON17 Date : septembre 1940
Pont de CrestConstruction du nouveau pont sur la Drôme (futur pont Frédéric Mistral), après la destruction de l'ancien pont sur ordre de l'État Major Régional de l'armée Française en juin 1940 : au second plan, les banches des arches du pont ; à l'arrière-plan, la rive gauche de la rivière.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MD BREY2 ©
Date : 1943
Pont de CrestConstruction du nouveau pont sur la Drôme (futur pont Frédéric Mistral), après la destruction de l'ancien pont sur ordre de Major Régional de l'Armée Française en juin 1943 : édification des arches ; au loin, les Trois becs.
Sources : Mémoire de la Drôme: 17 MD BREY3 © Date : 1943
Pont d'Aouste-sur-SyeDestruction du pont métallique (construit entre 1861 et 1863) sur la rivière de la Drôme par les troupes françaises, le 24 juin 1940 pour stopper l'avancée de l'armée allemande ; à l'arrière plan, sur la rive droite, le centre du village et le clocher de l'église Notre Dame de l'Assomption.
Source Mémoire de la Drôme : 17 MD BAUD30 ©
Pont d'Aouste-sur-SyePasserelle établie sur la Drôme en remplacement du pont détruit par le Génie militaire en juin 1940 afin d'arrêter l'avancée des troupes allemandes.
Mémoire de la Drôme : 29 MD GUIER6 © Date : 1940
Pont d'Aouste-sur-SyePiétons traversant la nouvelle passerelle sur la rivière de la Drôme, remplaçant l'ancienne emportée par une crue en octobre 1940, après la destruction du pont métallique par les troupes françaises, le 24 juin 1940, pour stopper l'avancée de l'armée allemande Référence du document : 17MDBAUD40 Date : 1940
Mémoire de la Drôme : 17 MD BAUD40 © Date : 1940
Pont d'Aouste-sur-SyeNouvelle passerelle sur la rivière de la Drôme, remplaçant l'ancienne emportée par une crue en octobre 1940, après la destruction du pont métallique par les troupes françaises, le 24 juin 1940, pour stopper l'avancée de l'armée allemande : à l'arrière plan, la rive gauche.
Sources : Mémoire de la Drome : 17 MD BAUD41 © Date : 1940
Pont d'Aouste-sur-SyeConsolidation de la nouvelle passerelle sur la rivière de la Drôme (remplaçant l'ancienne emportée par une crue en octobre 1940) détériorée par une autre crue de la rivière, après la destruction du pont métallique par les troupes françaises, le 24 juin 1940, pour stopper l'avancée de l'armée allemande : à l'arrière plan, la rive gauche.
Source :Mémoire de la Drôme : 17 MD BAUD43 © Date : 1941
Pont d'Aouste-sur-SyeConstruction du nouveau pont sur la rivière de la Drôme : à l'arrière plan, la façade sud et le clocher de l'église Notre Dame de l'Assomption, sur la rive droite. Référence du document : 17MDBAUD49 Date : 1946
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MD BAUD49 ©
Date : 1946
Pont d'Aouste-sur-SyeConstruction du nouveau pont sur la rivière de la Drôme, après destruction du pont métallique en juin 1940 après le ferraillage du pont
Mémoire de la Drôme : 29 MD LECO2 © Date : 1946
Pont d'Aouste-sur-SyeLe nouveau pont (construit à partir de 1946) franchissant la rivière de la Drôme : à l'arrière plan, vue partielle du village sur la rive droite.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MDBAUD 173 ©
Pont de Mirabel-et-BlaconsAu premier plan, le pont Mirabel sur la Drôme, détruit par le Génie de l'armée française pour empêcher l'avancée de l'armée allemande en 1940 ; pont reconstruit au même endroit fin des années 40 ; en arrière plan, massif et forêt de Saoû ; à gauche, les Trois Becs. Référence du document : 29MDGAT1 Date : 1941
Sources : Mémoire de la Drôme : 29 MD GAT1 © Date : 1941
Pont de SaillansDestruction de l'arche sud du pont Martial Algoud le 23 juin 1940 par les troupes françaises pour stopper l'avancée de l'armée allemande : à l'arrière plan, le village sur la rive droite.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MDMAUR 149 Date : 1940
Pont de SaillansLa passerelle provisoire en bois franchissant la rivière la Drôme (au premier plan) aménagée après la destruction en juin 1940 du pont pour stopper l'avancée allemande .
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MD MAUR263 ©
Pont de SaillansLe pont sur la Drôme détruit en juin 1940.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MDMAUR 207 © Date : 1940
Pont de SaillansReconstruction de l'arche sud du pont Martial Algoud après avoir été détruite le 23 juin 1940 par les troupes françaises pour stopper l'avancée de l'armée allemande.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MD MAUR145 ®
Pont de SaillansReconstruction du pont Martial Algoud, après avoir été partiellement détruit le 23 juin 1940 par les troupes françaises pour stopper l'avancée de l'armée allemande.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MD MAUR138 © Date : 1940
Pont de SaillansReconstruction du pont sur la Drôme
Sources : Mémoire de la Drôme : MD MAUR 157
Pont de MontélimarLe pont de pierre sur le roubion après l'explosion du 28 août 1944, provisoirement réparé par le génie américain.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MDPEB 8
Pont Eiffel de MontélimarMontélimar, pont Eiffel après sa destruction le 28 août 1944 par les Allemands.
Sources : Mémoire de la Drôme : 17 MDCHAZ 61 ©
Pont de la Berre à ValauriePasserelle provisoire remplaçant le pont sur la rivière de la Berre, dynamité par les troupes allemandes, le 27 août 1944.
Sources : Mémoire de la Drôme : 29 MD TERR15 Date : 1946
Pont de la Berre à ValaurieReconstruction par une entreprise de Valréas du pont sur la rivière de la Berne, dynamité par les troupes allemandes, le 27 août 1944.
Sources : Mémoire de la Drôme : 29 MD TERR18 © Date : 1946
Pont des PillesMise en place d'une passerelle provisoire après la destruction du pont roman, le 13 juin 1944, par la Résistance au cours de la seconde guerre mondiale : au centre, la rivière de l'Eygues.
Sources : Mémpoire de la Drôme : 29 MD GOND3 ©