Monument à la mémoire des déportés juifs morts dans les camps, Nîmes (Gard)

Légende :

Dans le cimetière israélite, rue André Simon, un monument, renfermant des cendres recueillies à Auschwitz, a été érigé par la communauté israélite à la mémoire de ses morts en déportation. Sur la liste figurent 5 familles sans leur composition et 147 noms dont ceux de quinze enfants de moins de 10 ans et quatorze de 10 à 16 ans. 

Genre : Image

Type : Monument

Source : © Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservés

Détails techniques :

Photographie numérique en couleur

Lieu : France - Occitanie (Languedoc-Roussillon) - Gard - Nîmes

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Contexte historique

Dans le Gard, les arrestations commencèrent dès août 1942. Menées par la police et la gendarmerie française elles visèrent d'abord les israélites étrangers. Une rafle importante le 26 août au matin envoya 122 juifs étrangers en camps d’extermination.

Après le 11 novembre 1942, des arrestations ponctuelles visant à fois les personnes et leurs biens furent menées par la police allemande, la milice et la police de Vichy. Un cinquième des israélites nîmois ont péri dans les Camps de la mort. Quant aux juifs étrangers réfugiés dans le Gard, il n’a pas été possible de connaitre le nombre de disparus.


Mémoire et Résistance dans le Gard