Ordre militaire du Lion Blanc (Tchécoslovaquie)
Légende :
Ordre militaire du Lion Blanc "pour la victoire" attribué à Georges de Lannurien, commandant en 1944 du bataillon de partisans français engagés auprès des Slovaques.
Genre : Image
Type : Décoration
Source : © Musée de l’Ordre de la Libération Droits réservés
Lieu : Tchécoslovaquie
Analyse média
Croix à quatre branches émaillées de rouge dont le médaillon central se compose d'un cercle émaillé de bleu sur lequel se détache la devise en lettres dorées "ZA VITEZSTVI" ("Pour la Victoire") avec en-dessous deux épées croisées. Le centre représente le lion tchèque.
Fabrice Bourrée
Sources :
Souyris-Rolland André, Guide des ordres et décorations de la Résistance et de la Libération, Public-réalisations, 1985.
Contexte historique
Créé le 9 février 1945, l'ordre militaire du Lion Blanc est la plus haute distinction militaire tchécoslovaque et ne doit pas être confondu avec l'ordre du Lion Blanc. Il est destiné à récompenser les services exceptionnels des combattants, civils et militaires, ayant participé activement aux actions de la résistance contre l'occupant et aux combats pour la libération du pays.
Hormis Georges de Lannurien sont également tiulaires de cette décoration les généraux Leclerc et Béthouart. Le diplôme décerné en 1947 au général Leclerc est présenté dans l'album lié à cette notice.
Fabrice Bourrée
Sources :
Souyris-Rolland André, Guide des ordres et décorations de la Résistance et de la Libération, Public-réalisations, 1985.
Archives du Musée du général de Hautecloque et de la libération de Paris
Archives de l'Ordre de la Libération
Accord du président du GPRF pour l'attribution de l'Ordre du lion blanc pour la victoire au général Leclerc, 6 décembre 1946
Musée du Général-Leclerc-de-Hauteclocque-et-de-la-Libération-de-Paris – musée Jean-Moulin, droits réservés
Ordre du Lion blanc (Tchécoslovaquie)Diplôme de l'Ordre du lion blanc pour la victoire décerné au général Leclerc
Musée du Général-Leclerc-de-Hauteclocque-et-de-la-Libération-de-Paris – musée Jean-Moulin, droits réservés