La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
En réponse à la déclaration de sinistre établie par Bertrand Gaston le 10 avril 1946.
© Archives famille Bertrand – droits réservés.
foule pendant l’exécution de La Marseillaise. Au 1er rang : le préfet Dupérier, le maire de Crest Charles Armorin, le général Descour. Derrière le préfet, successivement le docteur Maurice Rozier, Georges Brentrup, le docteur Tibor Revesz-Long Derrière le maire, le député Marcel Cartier, le général Cochinard Derrière le général Descour, le député Pierre Dhers, en arrière et plus à droite, en cravate, Paul Pons.
© Archives communales Crest, cliché L. Bovet, album « La vie crestoise » – droits réservés.
On remarque le drapeau noir à tête de mort, emblème de la compagnie Pons.
© Archives communales Crest, cliché L. Bovet, album « La vie crestoise » – droits réservés.
De gauche à droite : Charles Armorin, maire de Crest, Hector Gille, conseiller général de Crest-sud, Maurice Pic, sénateur, le général Descour, le docteur Maurice Rozier, deux membres du Comité de Libération, messieurs Aymard (lunettes) et Pluvy (de profil), le colonel Valette d’Ozia.
© Archives communales Crest, cliché L. Bovet, album « La vie crestoise » – droits réservés.
Le général Descour épingle la Croix de Guerre attribuée à la ville de Crest sur un coussin barré de tricolore, porté par le maire de Crest, Charles Armorin. Il est encadré par deux adolescents Pupilles de la nation, Maurice Mège, fils d’un résistant tué le 6 juin 1944, et Marie-Louise Goubillon, dont le père, la sœur et deux frères ont été tués par le bombardement américain du 13 août 1944.
© Archives communales Crest, cliché L. Bovet, album « La vie crestoise » – droits réservés.
© Archives communales Crest, cliché L. Bovet, album « La vie crestoise » – droits réservés.
© Archives communales Crest, cliché L. Bovet, album « La vie crestoise » – droits réservés.
René Roux est surnommé « l’Immortel », fusillé, mais rescapé, bien qu’aveugle.
© Archives communales Crest, cliché L. Bovet, album « La vie crestoise » – droits réservés.
Martin Hérold, l’un des fondateurs de la Résistance crestoise, en déposant cette gerbe, renouvèle ainsi le geste qui lui avait valu en 1942 d’être mis en résidence surveillée par le gouvernement de Vichy. Cette fois au premier rang de la foule et non en catimini, les gendarmes présentent les armes.
© Archives communales Crest, cliché L. Bovet, album « La vie crestoise » – droits réservés.