Stèle élevée à la mémoire de deux résistants larnageois tués au combat le 26 août 1944 : Aimé Pubilier et Maurice Revol.

Plaque en hommage aux maquisards Henri Ferret (et non Ferré), Jean Carré, Emile Mer, Sylvain Braud, Jean et Marcel Louis, morts pour la France le 27 juillet 1944, lieu-dit "Château-Gaillard", Gargilesse-Dampierre (Indre)

La stèle se situe en bordure du terrain de parachutage « Temple » à Allex.

Le capitaine de corvette Francois Drogou est un homme déterminé qui, le 18 juin 1940 écrit à sa femme : "Je pars, c'est tout ce que je sais, ce que je sais aussi c'est que ni toi ni nos enfants n'auront à rougir de leur père. A partir de cette heure, j'éloigne toute autre considération. Je me bats et jusqu'au bout. Je ferai ce que j'estime être mon devoir. Je fais la guerre". Dans la nuit du 24 au 25 juin, il décide d'appareiller avec tout l'équipage de Sousse (Tunisie) vers un port anglais, Malte, pour continuer le combat auprès des Alliés afin que son bâtiment, le sous-marin Narval, ne puisse servir à l'ennemi. Il lance alors son message, devenu célèbre, "Trahison sur toute la ligne, je rallie un port anglais". Arrivé à Malte le 26 juin, le Narval rejoint les Forces Navales Françaises Libres le lendemain.

Deux maquisards du C3 : Guy Sourcis, Peugeot, à gauche et Robert Séguy, Bob, à droite, amis parisiens arrivés ensemble au Vercors le 13 avril 1943 - ici en 1943

Stèle située au 68 avenue de la République à Pierrefite-sur-Seine (93).

Monument "Le mur des fusillés" implanté place de la Résistance à Tournon

"Execution Wall" by sculptor Sartorio, in Place de la Résistance, Tournon

A Alger, le général de Gaulle s'entretient avec à Mme Mallet, veuve du capitaine Horace Mallet tué à Bir hakeim et décoré à titre posthume, à qui il vient de remettre la croix de la Libération de son époux.

Cette plaque située au 1 avenue Victor Hugo était apposée au sein de la brasserie avant d'être transférée ici après la démolition de la brassserie.

Plaque fixée sur le mur de l’ancienne école primaire publique des Cordeliers en souvenir d’un de ses anciens directeurs, Marcel Berger, résistant déporté non rentré.