Retranscription de l'allocution radiophonique de Louis Saillant, troisième et dernier président du CNR, à l'occasion du premier anniversaire du Programme du CNR, 15 mars 1945 (page 4/4)

Association Libération-Nord

Attestation rédigée à Istres par le petit-fils de José Segura, qui avait caché Louis Loubière le 9 juin 1944, alors qu'il était recherché par les Allemands après une dénonciation - 18 décembre 2017

Collection Famille Loubière - Tous droits réservés.

Intérieur du fascicule initulé "Un poème à la mémoire de Louis RIVIER (1926-1944), édité par les Œuvres sociales du "Vivarais artistique", sans date

 Archives départementales de l'Ardèche (ADA 07) - 70 J 07 - Tous droits réservés.

Louis Chauvet (41 ans)
Louis Jean Chauvet, domicilié à Lauris, gendarme. Né le 30 novembre 1903 à Aujargues (Gard). Fils de Félix Chauvet et de Jenny Meynier. Epoux de Juliette Brun.

© Collection Michèle Bitton avec l’aimable autorisation d’Olivier Locquegnies, auteur des photographies.

Retranscription de l'allocution radiophonique de Louis Saillant, troisième et dernier président du CNR, à l'occasion du premier anniversaire du Programme du CNR, 15 mars 1945 (page 3/4)

Association Libération-Nord.

Retranscription de l'allocution radiophonique de Louis Saillant, troisième et dernier président du CNR, à l'occasion du premier anniversaire du Programme du CNR, 15 mars 1945 (page 2/4)

Association Libération-Nord

Dans l’impasse Louis Aragon et Elsa Triolet, devant la maison où les deux écrivains ont vécu. La façade a été modifiée. Une plaque est apposée contre la maison.

Jean Sauvageon ©

À Manosque, un lycée des métiers porte le nom de Lycée des Métiers Louis-Martin-Bret - les élèves du lycée participent aux commémorations en l'honneur de la Résistance bas-alpine et de Louis Martin-Bret

Cliché Pierre Ciantar - Tous droits réservés.

Anciennement rue des Minimes, elle a été rebaptisée rue des Trois Frères Barthélémy par délibération municipale du 19 juillet 1945 - Georges Barthélémy habitait avec ses parents et ses deux frères, Lucien et Louis, au numéro 53A - La Gestapo y tendit une souricière et il fut arrêté le 11 juillet 1944 ; son frère Louis, arrivé peu avant lui, fut abattu sur place

Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.

Né le 8 février 1908 à Mondragon (Tarn), Louis Guiral est chauffeur automobile à Labastide Murat (Lot). Réfractaire au STO, il rejoint en avril 1943 un maquis en Corrèze au sein duquel il prend le commandement d’un groupe-franc. Arrêté par la Milice en juillet 1943, écroué à Limoges, il est condamné le 8 octobre 1943 par la section spéciale de Limoges à cinq ans de réclusion pour infraction à la loi du 5 juin 1943 (activité terroriste) et à celle du 16 février 1943 (réfractaire au STO). Sept jours plus tard, il est transféré à Eysses où il participe activement aux combats du 19 février à la tête d’un commando. Louis Guiral est fusillé à Eysses le 23 février 1944.

Sources : Association nationale pour la mémoire des résistants emprisonnés à Eysses - droits réservés