La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Anciennement rue des Minimes, elle a été rebaptisée rue des Trois Frères Barthélémy par délibération municipale du 19 juillet 1945 - Georges Barthélémy habitait avec ses parents et ses deux frères, Lucien et Louis, au numéro 53A - La Gestapo y tendit une souricière et il fut arrêté le 11 juillet 1944 ; son frère Louis, arrivé peu avant lui, fut abattu sur place
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Né le 8 février 1908 à Mondragon (Tarn), Louis Guiral est chauffeur automobile à Labastide Murat (Lot). Réfractaire au STO, il rejoint en avril 1943 un maquis en Corrèze au sein duquel il prend le commandement d’un groupe-franc. Arrêté par la Milice en juillet 1943, écroué à Limoges, il est condamné le 8 octobre 1943 par la section spéciale de Limoges à cinq ans de réclusion pour infraction à la loi du 5 juin 1943 (activité terroriste) et à celle du 16 février 1943 (réfractaire au STO). Sept jours plus tard, il est transféré à Eysses où il participe activement aux combats du 19 février à la tête d’un commando. Louis Guiral est fusillé à Eysses le 23 février 1944.
Sources : Association nationale pour la mémoire des résistants emprisonnés à Eysses - droits réservés
Une plaque commémorative portant l'inscription : « Ici, berceau de la Résistance bas-alpine, du 22 au 23 mars 1950, a séjourné Charles de Gaulle, venu pour rendre hommage à Louis Martin-Bret, héros légendaire et martyr de la Libération » est apposée sur le bâtiment de la ferme "La Clémente", propriété de Louis Martin-Bret durant la Seconde Guerre mondiale
Cliché Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Anciennement rue des Minimes, cette rue porte le nom de « rue des Trois-frères-Barthélémy » depuis la délibération municipale du 19 juillet 1945 - Lucien Barthélémy habitait avec ses parents et ses deux frères, Lucien et Louis, au numéro 53 A de cette rue - La Gestapo y tendit une souricière, où son frère Louis fut abattu, et son frère Georges, arrêté le 11 juillet 1944
Cliché Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Remise de la Médaille de la Résistance au Maire de Thônes Louis HAASE, le 2 décembre 1945, par le Général DOYEN, Gouverneur militaire de Lyon, en présence d’une foule nombreuse réunie sur la place principale de Thônes dénommée Place BASTIAN, du nom du Lieutenant BASTIAN, Chef militaire de la Résistance dans les vallées de Thônes.
Tous droits réservés Mairie de Thônes.
Sources : Association nationale pour la mémoire des résistants emprisonnés à Eysses - droits réservés
Remise de la Médaille de la Résistance au maire de Thônes Louis HAASE, le 2 décembre 1945, par le général DOYEN, Gouverneur militaire de Lyon, en présence d’une foule nombreuse réunie sur la place principale de Thônes dénommée Place BASTIAN, du nom du lieutenant BASTIAN, chef militaire de la Résistance dans les vallées de Thônes.
Tous droits réservés Mairie de Thônes.