La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Juif d’origine polonaise, Léon Gaist est l’un des premiers membres des FTP-MOI à Grenoble. Il est abattu lors d’une opération de sabotage en 1943.
© MRDI- Grenoble Droits réservésLe rôle des femmes dans la Résistance a souvent été sous-estimé.
© AERD Droits réservésLe Commandant Binoche, chef d'état-major des FFI de l'Ardèche, sans date (après-guerre)
© Musée de l’Ordre de la Libération Droits réservésFausse carte d'identité de Max Weinstein établie au nom de Max Chevalier.
Jeune recrue de l’Union de la jeunesse juive à Lyon en septembre 1943, Max Weinstein s’engage dans la lutte armée au sein des FTP. Après la guerre, il prend une part active à la diffusion de la mémoire des résistants juifs issus de la Main d’œuvre immigrée.
© Archives privées Max Weinstein Droits réservésLe « commandant Noir » dans la Résistance.
© Collection Chapelle Droits réservésEn décembre 2000, quinzaine concernant le séjour de Louis Aragon et Elsa Triolet dans la Drôme.
© Société des Amis de Louis Aragon et Elsa Triolet (SALAET) Droits réservésMonument du Steingraben au Col de Bussang (entre Urbès et le col de Bussang sur la RN66 à gauche en venant de Urbès).
© Geneanet Droits réservésLe groupe de jeunes, en demi-cercle, autour de Paul Jansen, au premier plan à droite, est dominé par l’affiche d’une autre institution de Vichy, l’association Jeunesse et Montagne. Manifestement le cadrage de la photo traduit une volonté de propagande.
© Musée de la Résistance en Drôme et de la Déportation de Romans Droits réservésStèle à la mémoire de Georges Barral, abattu le 15 juillet 1944 à Richarville (Essonne), située sur la D838 à 50 mètres sur la droite après l'embranchement vers le hameau de Bréau Saint-Lubin (Richarville) en direction de Dourdan.
© Collection Bruno Durand (Société historique de Dourdan) Droits réservés