La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Fleurissement du monument au maquis Aillot à Lézinnes (bois du hameau Angy), le 18 juin 2013 - après un hommage solennel rendu aux cinq maquisards, l'assistance quitte la clairière pour aller se recueillir devant la cabane du lieu-dit « Pinagault » - quelques jours auparavant, des volontaires ont dégagé un passage à travers les brousailles
Devant le monument aux morts de Lézinnes, le 18 juin 2013 : alors que M. Hies lit l’appel du général de Gaulle, Georges Roze, président de l'ANACR et de Rhin et Danube, s’apprête à transmettre la gerbe aux enfants des écoles.
Collection ARORY - Cliché : F. Gand (18 juin 2013) - Tous droits réservés.
Né le 8 février 1908 à Mondragon (Tarn), Louis Guiral est chauffeur automobile à Labastide Murat (Lot). Réfractaire au STO, il rejoint en avril 1943 un maquis en Corrèze au sein duquel il prend le commandement d’un groupe-franc. Arrêté par la Milice en juillet 1943, écroué à Limoges, il est condamné le 8 octobre 1943 par la section spéciale de Limoges à cinq ans de réclusion pour infraction à la loi du 5 juin 1943 (activité terroriste) et à celle du 16 février 1943 (réfractaire au STO). Sept jours plus tard, il est transféré à Eysses où il participe activement aux combats du 19 février à la tête d’un commando. Louis Guiral est fusillé à Eysses le 23 février 1944.
Sources : Association nationale pour la mémoire des résistants emprisonnés à Eysses - droits réservés
En partant de la gauche, sur le flanc, fuselage de DFS 230 ; le personnage longe le fuselage, debout, d'un DFS 230. Ce dernier cache, en partie, vus de face, 2 fuselages de Gotha 242 contre lesquels est adossé un fuselage de DFS 230. On mesure très bien la différence de taille entre le DFS 230, planeur d'assaut et le Gotha 242, planeur de transport. Les deux personnes sont penchées sur un fuselage de DFS 230. Le jeune homme pose à côté d'un fuselage de DFS 230. Au loin, on distingue parfaitement les baraquements qui servent d'habitations provisoires aux habitants de Vassieux qui ont perdu leur maison lors des combats du 21 juillet 1944 et des jours suivants. La trainée blanche se dirigeant vers le haut de la bordure droite de la photo est l'amorce du vieux chemin rejoignant le col de La Chau. L'amas de carcasses devait se trouver au sud-est de Vassieux. La photo a sûrement été prise dans les années cinquante.
© Collection Marcel Barré, cliché Photo Ph. Chazot – droits réservés.