
La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
donnée par le maire à la 7e compagnie du 3e bataillon Morvan, en début d'été 1944. "Raymond" (Marius Audibert) est au centre (7e en partant de la gauche) en chemise blanche, à sa droite "France" (Renée Coursange, sa future épouse). La 2e en partant de la droite est madame Morand, puis le lieutenant "Tressos" (Meyraud) et la fille de mademoiselle Morvan.
Sources : © Collection Renée et Marius Audibert, droits réservés.
À l’entrée d'Oraison, une stèle en marbre a été érigée en hommage aux résistants arrêtés lors du piège dressé par les Allemands le 16 juillet 1944 - sur cette stèle figure l’inscription « 1944 - Aux résistants arrêtés à Oraison le 16 juillet - fusillés le 18 à Signes (Var) », suivie du nom des onze résistants, parmi lesquels celui de Léon Dulcy
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Plaque à la mémoire de Jean Rousset, membre de la 6e compagnie FFI. Blessé, hospitalisé, il est extrait de son lit et fusillé sur place devant les soeurs, ligotées et sauvées de l'exécution par l'intervention du maire de Die
Coordonnées GPS de l'hôpital de Die : 44, 45, 57 N -5, 22, 13 E.
Cliché Guy Giraud - Tous droits réservés.
Cette scène se passe avenue de l'Opéra le 25 août 1944 après la reddition de la garnison de la Kommandantur. Un adjudant sort à la tête d'un petit groupe et tient un drapeau blanc. Il est abondamment photographié jusqu'au moment où quelqu'un lui tire dessus. Un soldat de la 2e DB ? Un FFI ? Mystère. Est-il mort ? Deuxième mystère. Le HT Djebel-Guerba appartenait au 2e RMT (5e compagnie/3e section).
Département AERI de la Fondation de la Résistance / Fonds Sylvain Puteaux
Renseignements communiqués par Gilles Primout
Sur le Monument aux Morts du cimetière d’Oraison, à la base de la stèle, une plaque a été apposée sur laquelle sont inscrits les noms des quatre résistants domiciliés à Oraison et fusillés à Signes - le texte figurant sur la plaque « Aux Martyrs de Signes » se termine par la mention : « Lâchement assassinés par les Allemands et les miliciens le 19 juillet 1944 »
Cliché et légende : Pierre Ciantar (2017) - Tous droits réservés.
À Oraison, à l'entrée du village, une stèle en marbre a été érigée en hommage aux résistants arrêtés lors du piège dressé par les Allemands le 16 juillet 1944 - sur cette stèle, sous l'inscription « 1944 - Aux résistants arrêtés à Oraison le 16 juillet - fusillés le 18 à Signes (Var) », sont inscrits les noms des onze résistants, parmi lesquels celui de Maurice Favier
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Sur le monument aux morts érigé dans le cimetière d’Oraison, à la base de la stèle, une plaque a été posée sur laquelle sont inscrits les noms des quatre résistants domiciliés à Oraison et fusillés à Signes. Cette plaque « Aux Martyrs de Signes » se termine par ce texte : « Lâchement assassinés par les Allemands et les miliciens le 19 juillet 1944 »
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
De gauche à droite : René Belgy, de la compagnie civile d'Autrans ; Odette Serratrice, sœur de Marc Serratrice ; Andrée Molly-Mitton, agent de liaison, future Mme Serratrice, du mouvement Franc-Tireur ; Philippe Laroche et Marc Serratrice, Crainquebille, en septembre 1944
Collection M. Serratrice - Tous droits réservés.
À l’entrée d'Oraison, une stèle en marbre a été érigée en hommage aux résistants arrêtés lors du piège dressé par les Allemands le 16 juillet 1944 - sur cette stèle figure l’inscription « 1944 - Aux résistants arrêtés à Oraison le 16 juillet - fusillés le 18 à Signes (Var) », suivie du nom des onze résistants, parmi lesquels celui de Jean Piquemal
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Sur le Monument aux Morts du cimetière d’Oraison, à la base de la stèle, une plaque a été apposée sur laquelle sont inscrits les noms des quatre résistants domiciliés à Oraison et fusillés à Signes - le texte figurant sur la plaque « Aux Martyrs de Signes » se termine par la mention : « Lâchement assassinés par les Allemands et les miliciens le 19 juillet 1944 »
Cliché et légende : Pierre Ciantar (2017) - Tous droits réservés.