La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Remarquer le classique V de la victoire et la croix de Lorraine.
© Cliché Alain Coustaury – droits réservés.
La stèle est en bordure de la RN 7 et à l'entrée d'une aire de repos.
© Cliché Alain Coustaury – droits réservés.
La route était, en 1944, deux fois moins large. L'ensemble est dominé par de fortes pentes boisées, favorable à la tenue d'embuscades et à la retraite.
© Cliché Alain Coustaury – droits réservés.
Le Rhône, actuellement très large, a été aménagé. Les rives, en 1944, étaient constituées d'une forêt ripisylve (les lônes) épaisse où l'on pouvait se cacher.
© Cliché Alain Coustaury – droits réservés.
On aperçoit le village de Serves en bordure du Rhône, son château construit sur le tunnel. C'est au nord du mur pare-éboulis protégeant la voie ferrée que Marius Mabboux a été tué. La raideur des pentes boisées est bien visible. Après une attaque, les résistants se repliaient et se dispersaient sur le « Puy de Serves ».
© Cliché Alain Coustaury – droits réservés.
Un des intérêts de la photographie est d'apercevoir deux engins emblématiques de l'US Army : le char moyen M4 et la Jeep. Le convoi pénètre dans le village d'Épinouze par la route de Saint-Sorlin-en-Valloire, venant du sud. La scène doit se dérouler alors que les forces allemandes sont déjà loin au nord. En effet, on peut remarquer que le canon du char est sur sa chaise de route, c'est-à-dire qu'il est quasiment inutilisable, la tourelle ne pouvant pas pivoter. Cette position est utilisée lorsque le char doit parcourir de nombreux kilomètres sur route. Le fait de bloquer la volée du canon évite des oscillations dommageables pour la pièce. Le char sert également de moyen de transport pour les fantassins. La série de photographies tend à montrer que l'unité blindée ne fait que traverser le village pour foncer vers le nord en direction de Lyon.
© Collection Michel Seyve – droits réservés.
Les parachutes utilisés sont du même modèle que ceux employés en 1944. La photographie restitue assez bien une scène d'un parachutage de 1944. Au loin, on distingue les pentes du Grand bois et le But de Nève.
© Cliché Alain Coustaury – droits réservés.