La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Les baraquements du camp C1 sont proches du Saut de la truite, à quelques centaines de mètres de la ferme d'Ambel.
Croquis Alain Coustaury
Pour aider les habitants du Vercors, de nombreux bals et galas sont organisés au pied du massif.
Sources : collection Alain Coustaury
Droits réservés
Vue aérienne de la clairière d'Ambel prise au mois de juillet. Au premier plan, sous l'aile du planeur, le "revers" boisé du roc de Toulau, la clairière d'Ambel, le flanc opposé des pots Martin. La prairie du "plateau" d'Ambel est desséchée par le manque d'eau et l'infiltration dans la roche calcaire. En bas, à gauche, au nord, le monument de la Gardiole. Altitude de prise de vue 1700m.
Sources : collection Alain Coustaury Droits réservés
Dans une usine d’Aubervilliers travaillant pour les Allemands, une des machines d’imprimerie de Défense de la France, camouflée sous des caisses d’expédition, qu’on soulevait pour imprimer les journaux clandestins, et qu’on rabaissait à la moindre alerte.
L'impression de Défense de la France s'effectue initialement sur la Rotaprint. Mais, dès le début de 1943, le mouvement acquiert des machines professionnelles. Grâce à l'imprimeur Jacques Grou-Radenez, il se procure une presse très puissante de la marque Teisch (photo).
© Archives nationales, fonds Défense de la France (don Jean-Marie Delabre) – droits réservés.
Dans une usine d’Aubervilliers travaillant pour les Allemands, une des machines d’imprimerie de Défense de la France, camouflée sous des caisses d’expédition, qu’on soulevait pour imprimer les journaux clandestins, et qu’on rabaissait à la moindre alerte.
© Archives nationales, fonds Défense de la France (don Jean-Marie Delabre) – droits réservés.
Sur la photo, Pierre Martin et Marc.
© Archives nationales, fonds Défense de la France (don Jean-Marie Delabre) – droits réservés.
Sur la photo, Lucie Montet (1er plan) et Jacqueline Borgel.
© Archives nationales, fonds Défense de la France (don Jean-Marie Delabre) – droits réservés.
Au fond d’un lavoir, insonorisé par un revêtement de liège, chez une vieille dame de plus de 80 ans, une automatique demi-raisin tire 200 000 exemplaires d’un journal clandestin chaque semaine. Sur la photo, Pierre Martin.
© Archives nationales, fonds Défense de la France (don Jean-Marie Delabre) – droits réservés.