La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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"Relation des faits qui se sont déroulés depuis notre arrestation le 19 août 1944 jusqu'au 24 août pendant notre internement au fort de Vincennes", par le brigadier Juvenal du 12e arrondissement, 27 août 1944
Département AERI de la Fondation de la Résistance / Fonds Sylvain Puteaux
"Relation des faits qui se sont déroulés depuis notre arrestation le 19 août 1944 jusqu'au 24 août pendant notre internement au fort de Vincennes", par le brigadier Juvenal du 12e arrondissement, 27 août 1944
Département AERI de la Fondation de la Résistance / Fonds Sylvain Puteaux
Photographie prise trois mois avant l’arrestation de deux de ces trois membres du mouvement Défense de la France. De gauche à droite : Geneviève de Gaulle, Hubert Viannay (frère de Philippe Viannay, co-fondateur de Défense de la France) et Marguerite-Marie Houdy, tous trois âgés de 22 ans. Parmi ces étudiants deux ont été déportés : Geneviève de Gaulle à Ravensbrück et Hubert Viannay au camp de Neue Bremm puis Sachsenhausen où il meurt le 31 mai 1944.
Coll. Fondation de la Résistance - photo Défense de la France.
Une illustrée du numéro 39 de Défense de la France daté du 30 septembre 1943
Source : Musée de la Résistance en ligne/exposition « Le journal Défense de la France »
Maquis de Seine-et-Oise, août 1944 : Albert Bernier, Philippe Viannay, Françoise de Rivière, Hélène Viannay.
Parmi ces quatre jeunes gens, tous membres du mouvement Défense de la France, se trouve son fondateur, Philippe Viannay, le plus jeune des chefs des grands mouvements de Résistance. Encore étudiant, il a créé avec des camarades, en 1941, un journal devenu trois ans plus tard le plus fort tirage de la presse clandestine. Dans la perspective du débarquement, il revendique le passage à la lutte armée. Au printemps 1944, nommé à la tête des FFI du nord de la Seine-et-Oise, il quitte Paris et s’installe au maquis. Grièvement blessé en juillet et hospitalisé, il s’évade et reprend son commandement en août. Hélène Viannay, co-fondatrice du mouvement et épouse de Philippe depuis 1942 avait conservé tout un ensemble de photographies de la période « du maquis de Seine-et-Oise », dont il est bien difficile de savoir aujourd’hui si toutes ont été prises avant la Libération du territoire dans l’esprit d’un « reportage » destiné à la presse clandestine.
Coll. Fondation de la Résistance- photo Défense de la France.
Dans le journal Défense de la France n°34 du 20 juin 1943, Geneviève de Gaulle alias Gallia fait paraître la première biographie du général de Gaulle dans la presse clandestine.
Source : Gallica/ Bnf cote RES-G-1470 (88)
Dans le journal Défense de la France n°34 du 20 juin 1943, Geneviève de Gaulle alias Gallia fait paraître la première biographie du général de Gaulle dans la presse clandestine.
Source : Gallica/ Bnf cote RES-G-1470 (88)
Dans le journal Défense de la France n°34 du 20 juin 1943, Geneviève de Gaulle alias Gallia fait paraître la première biographie du général de Gaulle dans la presse clandestine.
Source : Gallica/ Bnf cote RES-G-1470 (88)