La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Le Petit Parisien du 23 octobre 1941 publie en page 3 la liste des 48 otages exécutés en application de l'avis émamant du Militärbefelshaber in Frankreich du 22 octobre 1941. La liste indique simplement le nom, le prénom, la localité d'origine et le motif de l’arrestation ou de la condamnation de l’otage. Les otages sont numérotés de 1 à 48. Parmi ces otages figure le jeune communiste Guy Môquet.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésPlaque en hommage au gardien de la Paix Albert Herembert, située 1, rue Corbon, Paris XVe
© Département AERI de la Fondation de la Résistance Droits réservésLe monument aux 50-Otages est un monument de Nantes édifié sur l'esplanade des Cinq-communes-Compagnon-de-la-Libération à l'est de la place du Pont-Morand (extrémité nord du cours des 50-Otages) sur les bords de l'Erdre.
© Cliché Christophe Durand Droits réservésCette stèle est située à quelques dizaines de mètres du monument de la Poche sud de St-Nazaire : 40 Rue d'Arthon, 44320 Arthon-en-Retz.
© Cliché Christophe Durand Droits réservésPlaque commémorative située 35 rue Gandon, Paris 13e.
© Wikimedia Libre de droitsPlaque en hommage au facteur résistant René Royer, située à l'intérieur du centre de tri postal, 115, boulevard Brune, Paris XIVe
© Département AERI de la Fondation de la Résistance Droits réservésTract en yiddish émanant de la milice pariotique juive de Paris, 31 août 1944.
Il mentionne que 15 départements et de nombreuses villes ont été libérés par les FFI avant l'arrivée des Alliés et annonce la formation d'une milice de 100 volontaires qui prend le nom de Compagnie Rayman du nom du patriote fusillé en février 1944.
Chapitre "La Libération", mémoires de Pinkhes Mints [Aleksander], In di yorn fun yidishn umkum un vidershtand in Frankraykh: perzenlekhe zikhroynes [Dans les années de résistance en France : souvenirs personnels], Buenos Aires, Yidbukh, 1956, pp. 253 à 258.
Traduit du yiddish par Erez Levy (Centre Medem-Arbeter Ring).