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La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Salle Cuzin à la Sorbonne (aujourd'hui bibliothèque de l'UER de philosophie), inaugurée en 1971, à l'initiative de Vladimir Jankélévitch et Jean Guéhenno.
Cliché Robert Mencherini - Tous droits réservés.
Les noms d'André Daumas et de Léon Dulcy sont gravés sur le mémorial qui occupe un pan de mur du hall de l'ancienne faculté de médecine de Paris, rue de l'Ecole de médecine (VIe).
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Les noms d'André Daumas et de Léon Dulcy sont gravés sur le mémorial qui occupe un pan de mur du hall de l'ancienne faculté de médecine de Paris, rue de l'Ecole de médecine (VIe).
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Les noms d'André Daumas et de Léon Dulcy sont gravés sur le mémorial qui occupe un pan de mur du hall de l'ancienne faculté de médecine de Paris, rue de l'Ecole de médecine (VIe).
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Le 25 mai 1944, Pierre Deshayes ("Gramme"), chef du BOA pour la région A, demande : "Envoyez-nous brassards ou autres pièces de reconnaissance homologuées".
Archives nationales, 3 AG 2 / 457
Le 2 juin 1944, André Desgranges ("Maréchal"), officier d'opérations du DMR de la région C, demande si Londres prévoie des brassards ou uniformes.
Archives nationales, 3 AG 2 /457
Le 1er juin 1944, c'est un câble de Bernard Gouy ("Mediane"), adjoint au chef de la mission Jedburgh Benjoin, qui demande "la reconnaissance comme combattant de tout homme porteur d'un brassard rouge avec V blanc et croix de Lorraine bleue". Cette demande est faîte en urgence car le réduit du Mont-Mouchet subit à ce moment une attaque allemande.
Archives nationales, 3 AG 2 / 457