La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Le nom de François Pelletier a été donné à une rue de Cogolin (Var) - C’est dans ce village que François Pelletier a été hébergé après son parachutage chez Pattachini et c’est à partir de Cogolin qu’il aménagea un point de chute pour les liaisons maritimes dans la baie de Cavalaire
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Au col de Vignon, dans la commune de La Garde-Freinet (Var), sur la route départementale 74, a été apposée une plaque rappelant la création du Maquis de la Mourre : « Résistance et Brigade des Maures. Le 6 juin 1944, sur ce sommet dans une ferme voisine détruite à l’explosif par l’ennemi le 25 juillet 1944, le sous-lieutenant François Pelletier, officier parachuté d’Alger, arrêté à Saint-Tropez le 24 juillet 1944 et massacré à Signes (Var) le 12 août 1944, a créé le Maquis d’instruction de la Mourre pour que vivent la France et l’Humanité » - une autre plaque située sous celle-ci rend hommage à « son compagnon » Muthular d’Errecalde, Lucas, officier américain de la mission interalliée, arrêté le même jour à Saint-Tropez et massacré à ses cotés à Signes, le 12 août 1944
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits résevés.
Le nom de François Pelletier a été donné à une rue du village de la Garde-Freinet (Var) : c'est dans cette commune que François Pelletier a créé le Maquis d’instruction de La Mourre
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
À Ramatuelle (Var), place Alphonse-Alsfasser, un monument a été érigé « à la gloire des Combattants et des Résistants des Services Spéciaux de la Défense Nationale » - sur ce monument figurent 299 noms, dont celui de François Pelletier
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Le nom de François Pelletier a été donné à une rue de Saint-Tropez (Var) où François Pelletier a résidé entre avril et juillet 1944, et c’est également à partir de Saint-Tropez qu’il a choisi la plage des Virolles, au nord du cap Pinet, comme point d’accostage pour les liaisons maritimes à partir du 8 mai 1944
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Sur la façade de l’immeuble qu’ils occupaient au 53A de la rue des Trois frères Barthélémy (Marseille 6e), le MLN a fait apposer une plaque en 1945, reprenant les noms et années de naissance des trois frères Barthélémy. Ceux-ci sont suivis de la mention « Assassinés lâchement par la Gestapo les 11 et 18 juillet 1944 »
Georges Barthélémy y habitait avec ses parents et ses deux frères, Lucien et Louis. La Gestapo y tendit une souricière et il fut arrêté le 11 juillet 1944 ; son frère Louis, arrivé peu avant lui, fut abattu sur place
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Anciennement rue des Minimes, elle a été rebaptisée rue des Trois Frères Barthélémy par délibération municipale du 19 juillet 1945 - Georges Barthélémy habitait avec ses parents et ses deux frères, Lucien et Louis, au numéro 53A - La Gestapo y tendit une souricière et il fut arrêté le 11 juillet 1944 ; son frère Louis, arrivé peu avant lui, fut abattu sur place
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Dans la Var, la route départementale 23, qui va de Rians à Ginasservis, porte les noms de deux résistants lorsqu’elle traverse le village - le nom de Georges Cisson a été donné au tronçon qui rejoint la route de Vinon ; le tronçon situé à l’entrée de l’agglomération se nomme quant à lui Martin-Bret
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Dans la ville des Arcs où il est né, et à l’angle de l’avenue Georges-Cisson, un mémorial a été créé en son honneur - sur la plaque est inscrit : « Georges Cisson (1910 - 1944) Syndicaliste chrétien, membre du Directoire Régional de la Résistance, participe à la lutte contre le régime de Vichy. Lieutenant Colonel des FFI, arrêté par la Gestapo le 12 juillet 1944, emprisonné et torturé, il est fusillé à Signes le 18 juillet 1944 »
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Dans le 7e arrondissement de Marseille, le nom de Georges Saint-Martin a été donné à l’ancienne rue Saint-Martin par délibération du 19 juillet 1945. Une plaque commémorative en marbre noir a été apposée au commencement de la rue qui porte l’inscription :
« À Georges Saint-Martin, FFI né en 1924, fusillé à Signes le 12 août 1944 »
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