Fiche individuelle au nom de MEURILLON, collégien arrêté le 11novembre 1940 à Compiègne pour avoir déposé une gerbe devant le monument aux morts du collège.

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Rapport manuscrit du sous-préfet de Compiègne, 22 novembre 1940

Archives départementales de l'Oise, 1232W59   Droits réservés

Fiche médicale de Jean Colson établie le 11 novembre 1940 au poste de secours de la Fondation Marmottan (Paris 17e).

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Projet de timbre initié en 1998 par l'association des résistants du 11 novembre 1940 en prévision du 60e anniversaire de la manifestation étudiante à l'Arc de Triomphe.

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Le 26 février 1942, un informateur du Bureau central de renseignement et d’action militaire (BCRAM) à Londres, étudiant présent le 11 novembre, annonce 5 morts et 150 jeunes gens disparus.

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Lettre-témoignage d'André Weil-Curiel au sujet du dépôt de gerbe du 11 novembre 1940

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L’analyse du registre d’écrou de la maison d’arrêt de la Santé conservé aux archives départementales de Paris sous la cote 1807W136 et relatif aux détenus remis aux autorités allemandes (1940-1941) permet de dégager quelques informations sur les manifestants arrêtés le 11 novembre 1940. 

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Né 24 octobre 1921 à Mézidon, André Langlois est élève au lycée Malherbe de Caen en novembre 1940. Il témoigne de ce que fut la manifestation du 11 novembre 1940 à Caen.

Archives du Calvados, 2AV/45   Droits réservés

Courrier du commissariat central de police de Nantes aux autorités françaises locales relatif à des mouvements dans des établissements scolaires le 11 novembre 1940

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Le 11 novembre 1954, le président de la République René Coty inaugure à l’angle de l’avenue des Champs-Élysées et de la rue de Tilsitt, une plaque commémorative portant l’inscription : « Le 11 novembre 1940 devant la tombe de l’Inconnu les étudiants de France manifestant en masse les premiers résistèrent à l’occupant ». 

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Suite aux dépôts de gerbes et de messages à caractère patriotique au monument aux morts de Brest le 11 novembre 1940 et ce malgré l'interdiction de manifestation ordonnée par la Feldkommandantur, le commandant militaire allemand ordonne la surveillance dudit monument par "des gardes composées de Brestois" durant 8 jours.

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Tract appelant les étudiants à se réunir le 8 novembre 1940 pour protester contre l'arrestation de Paul Langevin et à organiser une manifestation du souvenir le 11 novembre 1940.

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Dans son édition du 16 novembre 1940, le journal collaborationniste L'Oeuvre consacre une grande partie de sa Une à la fermeture des Facultés, "une leçon et un avertissement" envers les étudiants et lycéens ayant manifesté le 11 novembre précédent. 

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Appel à manifester reproduit sur une feuille de cahier

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