Albert CHAUVET
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Profession en 1940 : Ouvrier menuisier aux ateliers SNCF de Nîmes-Courbessac
Domicile en 1940 : Nîmes
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Lieu de détention : Sisteron / Saint-Sulpice-la-Pointe / Eysses 15/10/1943 Mle 2320
Date de libération (ou évasion) : Transféré le 11 décembre 1943 au camp de Carrère (Lot-et-Garonne)
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Ouvrier menuisier aux ateliers SNCF de Nîmes-Courbessac (Gard), résistant, Albert-Louis Chauvet fut arrêté le 5 décembre 1940 à Nîmes. Interné administratif le 8 décembre 1940 au camp de Sisteron, il fut transféré au camp de Saint-Sulpice-la-Pointe, puis le 23 octobre 1943 à la centrale d’Eysses où il retrouva son fils, Jean Chauvet. Il quitta la centrale d’Eysses le 11 décembre 1943 pour le camp de Carrère (Lot-et-Garonne), d’où il fut enfin transféré à la forteresse de Sisteron (Basses-Alpes, Alpes-de-Haute-Provence) en février 1944. Le 8 juin 1944, Albert-Louis Chauvet s’évada de la citadelle et rejoignit un maquis de FTPF (17e Compagnie des Basses-Alpes) dans la région de Digne (Basses-Alpes).
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Association nationale pour la mémoire des résistants et patriotes emprisonnés à Eysses