La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Depuis le belvédère de la cote 932 à Saint-Julien-en-Vercors, la route départementale 531.
Sources : © Photo Alain Coustaury, droits réservés.
La double cluse des Goulets et des gorges de la Bourne, séparées par l'éperon de la Grande Cournouse. Violence du relief. Deux entrées du Vercors, apparemment faciles à contrôler. L'éperon de la Grande Cournouse a abrité un maquis. À noter la proximité des collines du Bas Dauphiné. Des maquis ont émigré de ces collines vers le Vercors après le 6 juin 1944. Au loin, la forêt de Thivolet, base de départ de Narcisse Geyer. Vue vers le nord ; altitude de prise de vue : 1 700m.
Sources : © Photo Alain Coustaury, droits réservés.
La mitraillette Sten, d'origine anglaise, parachutée aux résistants était l'une des armes les plus utilisées. De calibre 9 mm, d'une longueur de 76 cm et d'un poids de 3 kg, c'était l'arme légère par excellence. Elle était alimentée par un chargeur de 32 cartouches et tirait à la vitesse de 550 coups à la minute. Elle était surtout adaptée aux combats rapprochés n'étant pas très précise, ni d'une grande portée. D'autre part, elle n'était pas toujours très fiable et s'enrayait quelquefois, elle a été parfois la cause d'incidents, voire d'accidents. Elle était facile à démonter (47 pièces seulement) et pouvait utiliser des munitions de 9 mm prises aux Allemands.
Sources : © Collection Jean Sauvageon, droits réservés.
De gauche à droite : fusil Garand calibre 30, M1 ; 2e : pistolet-mitrailleur Thompson M1, un des plus célèbres ; 3e ; carabine, calibre 30 M1, très appréciée par la Résistance qui en reçut ; 4e ; la même avec crosse pliante, pour les parachutistes. Au premier plan : fusil mitrailleur Browning BAR M1918A2, la Résistance en reçut quelques-uns. L'homme porte l'uniforme des parachutistes largués lors du débarquement de Provence, le 15 août 1944.
Sources : © Alain Coustaury avec l'autorisation de "Forty four memories" 13590 Meyreuil, droits réservés.
Canon de 25. Le serveur est l'abbé Magnet
Sources : © Collection Musée de la Résistance de Vassieux-en-Vercors, droits réservés.
Canon pris par la Résistance au camp de Chambaran en position aux Barraques-en-Vercors
Sources : © Collection Musée de la Résistance de Vassieux-en-Vercors, droits réservés.
à gauche
Sources : © Collection Raymond Audibert, droits réservés.
Chorale des internés en avril 1944, deux mois avant leur évasion. Fernand Tressos, au deuxième rang est le quatrième en partant de la gauche.
Sources : © Collection Fernand Tressos, droits réservés.
De gauche à droite : Fernand Tressos ("Meyraud"), Renée Coursange-Audibert ("France"), Jeanne Allègre ("Katia"), Marius Audibert ("Raymond")
Sources : © Collection Raymond Audibert, droits réservés.
donnée par le maire à la 7e compagnie du 3e bataillon Morvan, en début d'été 1944. "Raymond" (Marius Audibert) est au centre (7e en partant de la gauche) en chemise blanche, à sa droite "France" (Renée Coursange, sa future épouse). La 2e en partant de la droite est madame Morand, puis le lieutenant "Tressos" (Meyraud) et la fille de mademoiselle Morvan.
Sources : © Collection Renée et Marius Audibert, droits réservés.