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La stèle entourée de la pelouse, de massifs de fleurs et du mât des couleurs.
© Photo Michel Seyve – droits réservés.
D’une hauteur de 1,30 mètre, elle « représente deux mains jointes émergeant des barbelés … », Journal départemental de l’ANACR, n° 47, janvier 2012. Elle est signée de Roger-Claude Marion.
© Photo Michel Seyve – droits réservés.
Plaque apposée en 1995, sur la façade de la stèle, dans l’intention d’entretenir et de prolonger la mémoire, après l’inauguration.
© Photo Michel Seyve – droits réservés.
Sur la gauche de la stèle, accompagnant la flamme de la Résistance, plaque « À LA RESISTANCE 1940-1945 ».
© Photo Michel Seyve – droits réservés.
Stèle « Aux Déportés dans les camps de concentration nazis », « À la Résistance », p. 1 et p. 4, le 28 avril 1990.
© Archives Michel Seyve – droits réservés.
Il s’agit ici des pages 2 et 3.
© Archives Michel Seyve – droits réservés.
Gare de Montélimar où s’arrêta le « train fantôme » dans la nuit du 18 au 19 août 1944 ; Sur la droite du cliché : deux plaques à la mémoire des déportés du train et des cheminots tués durant la guerre.
© Archives de l’ANACR Drôme, Mireille Monier-Lovie, photographie Dauphiné Libéré.
La gare de Montélimar où s’arrêta le « train fantôme » dans la nuit du 18 au 19 août 1944. Plan d’ensemble sur les deux plaques qui marquent l’histoire de la gare de Montélimar au cours de la période 1939-1944.
© Archives de l’ANACR Drôme, Mireille Monier-Lovie, photographie Dauphiné Libéré.
Le 28 août 1976, date anniversaire de la libération de Montélimar, l’ANACR et la FNDIRP font apposer, sur la façade de la gare de Montélimar, une plaque commémorant la tragédie du « train fantôme » :
« En cette gare le 19 août 1944 à 22 heures
3 patriotes ont été retirés blessés et mourants d’un convoi de la mort à destination des camps
d’extermination nazis.
Ce sont
Henri Barres 43 ans
Robert Dardillac 23 ans
Jacques Insel 34 ans
François Lafforgue 20 ans
Maurice Pugin 23 ans
Ils sont morts pour la France …. Et les Libertés
Le 28 août 1976
A.N.A.C.R. – F.N.DI.R.P. »
© Archives de l’ANACR Drôme, Mireille Monier-Lovie, photographie Dauphiné Libéré.