La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Note de la police de Sûreté au sujet des attentats commis à Marseille le 3 janvier 1943
© Archives nationales Droits réservésNotre Voix, journal de la section juive de la MOI annonce dans son numéro 66 (1er janvier 1944) en pages 2 et 3 l'action de groupes de combat juifs marseillais contre l'UGIF
© Extrait de "La presse antiraciste sous l'occupation hitlérienne" Droits réservésPasseport roumain de Bella Haïs (Hélène Taich), 1937
© Collection privée Clément Taich Droits réservésD’origine juive polonaise, Ezer Najman s’engage dès 1941 à Lyon dans des actions de propagande, puis il participe à la lutte armée dans le bataillon Carmagnole à Lyon et dans le bataillon Liberté à Grenoble de 1943 jusqu’aux combats de la Libération.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésD’origine juive allemande, Herbert Herz combat dans le bataillon Liberté des FTP-MOI à Grenoble de 1943 à 1944 et dans le Var.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésJuive d’origine polonaise, Irène Mendelson milite à Montpellier dans la section juive de la MOI et est chargée de s’occuper des jeunes à Grenoble en mettant sur pied une organisation.
© Université de Montpellier, archives de l'UFR de Médecine. Droits réservésJuif d’origine polonaise, Léon Gaist est l’un des premiers membres des FTP-MOI à Grenoble. Il est abattu lors d’une opération de sabotage en 1943.
© MRDI- Grenoble Droits réservésMembre de l'Union de la Jeunesse Juive à Lyon, Simon Fryd intègre les FTP-MOI où il devient rapidement chef de groupe. Arrêté le 29 mai 1943, il est guillotiné dans la cour de la prison Saint-Paul de Lyon le 4 décembre suivant.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésIgnaz Krakus, dit Roman, cadre du bataillon FTP-MOI Carmagnole, chef militaire du maquis de la Croix du Ban.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservés