Les traits indiquent les trajectoires des planeurs d'assaut DFS 230, le 21 juillet 1944. D'autres aéronefs sont indiqués. Ils se sont souvent posés sur « Taille-crayon ».

Rue probablement empruntée le 1^er août 1944 par la Task Force Abrams détachée du Combat Command A (groupement tactique interarmes) de la 4^th US Armored Division dans le cadre de la progression vers Rennes.

Stèle en hommage à "Jean Moulin et ses camarades déportés et résistants" située avenue de la IVe République à Rézé.

Sans les citer, cette plaque rend hommage aux membres du groupe Chabanne de Pontoise. Elle a été apposée en 2013 sur les quais de l’Oise à quelques mètres de l’Office de Tourisme de Pontoise.

Le 16 février 1944, les Allemands donnèrent l’assaut à un refuge de réfractaires au STO installé par l’Armée secrète sur le territoire de la commune de Beyssenac (Corrèze). Ils exécutèrent sur place 34 réfractaires et en déportèrent treize.

Voir le dépliant "Chemin de la mémoire du pont Lasveyras".

Né le 9 février 1902 à Toulon (Var), mort le 15 décembre 1941 à Suresnes (Seine), fusillé par les Allemands au Mont-Valérien ; journaliste ; membre du comité central du parti communiste de 1924 à 1929, suppléant de 1932 à 1937 puis titulaire ; chef des services de politique étrangère de L'Humanité ; député de Seine-et-Oise (1932-1940) ; érigé en martyr de la Résistance communiste.

Au recto, portrait d'Henri Durel. Au verso, sa carte de membre des anciens du mouvement CDLR. 

Page de couverture de l'ouvrage de Jacques Mauloy, Les nouveaux saigneurs, paru en 1948 aux éditions de la Balance (Paris)

Circulaire n°24 bis du 29 septembre 1940 du ministre secrétaire d’Etat à l’Intérieur (direction des réfugiés) aux préfets de la zone non occupée et aux sous-préfets de Confolens (Charente), St-Amand (Cher) et Montmorillon (Vienne), signée par le directeur des réfugiés Marcel Willier

Avenue-Jean-Moulin, Paris XIVe arrondissement