Le 26 août 1944, à 18h15, le premier blindé américain entre dans Nangis

Copie conforme de l'attestation établie par Roger Cocteau-Gallois en faveur de Georges Deynoux pour son implication dans la mission de liaison de Cocteau-Gallois avec les troupes alliées

Le commandant François-Marie Pietri, à l'origine du premier groupe de combat, la Légion corse, dans la région de San Gavino di Carbini, mouvement gaulliste assez implanté dans le Sartenais

Commander François-Marie Pietri, involved in the formation of the first combat group, the Corsican Legion, in the region of San Gavino di Carbini, a Gaullist movement primarily based in the Sartene area

Plaque apposée au 17 quai des Grands Augustins, Paris 6e

En rendant un hommage passionné aux morts de la France Combattante, le 18 juin 1943 à l’Albert Hall de Londres, Pierre Brossolette s’efforce de mobiliser les « Français de Grande- Bretagne » (c’est-à-dire, rappelons-le, un auditoire qui dépasse la seule France Combattante) au service de l’entreprise gaullienne et, plus largement, de la rénovation à venir de la France.

Texte de l'appel à la population rédigé par le Comité départemental de Libération lors de sa première réunion (texte signé du secrétaire général de la préfecture, Perrin, et de Leguay, président du Comité).

Marcel Santoni, l'un des nombreux résistants corses ayant choisi de poursuivre, après la libération de l'île le 4 octobre 1943, le combat auprès des troupes françaises, ici en 1944

Marcel Santoni, one of the many Corsican Resistance fighters who chose to carry on combat with the French army after the liberation of Corsica on October 4^th, 1943, shown here in 1944

Le colonel Eon devant le HM-280 en construction (1944)

Les Chantiers de la jeunesse française (CJF), souvent appelés chantiers de jeunesse, étaient une organisation paramilitaire française ayant existé de 1940 à 1944.