Dague en bois fabriquée au printemps 1944 par Albert Krivopissko au maquis de Cluny (Saône-et-Loire). 

Croix sculptée au camp de Ravensbrück dans un manche de brosse à dents, offerte par une déportée inconnue à Nina Baumstein, jeune juive de 17 ans, qui avait été elle-même déportée en tant que résistante le 18 avril 1944. 

Insigne combinant trois emblèmes résistants : le V, la Croix de Lorraine et la devise républicaine.

Anneau en os sculpté par Jean Laval, tourneur sur bois à Aurillac, militant communiste,  pendant son internement au camp de Nexon (Haute-Vienne) où il fut détenu du 4 mars 1941 au 12 aout 1942

Poteau d'exécution d'un des résistants exécutés sur ordre d'une cour martiale de Vichy après la révolte des détenus de la maison centrale d'Eysses (Lot-et-Garonne) en février 1944. 

Broche artisanale formée de pièces de monnaies belges et françaises soudées de manière à former le sigle RAF.

Maquette du projet de monument "A la gloire des Libérateurs de Paris", 1946.

Extraits du chapitre « L’amalgame », tirés des mémoires du maréchal Jean de Lattre de Tassigny, Histoire de la Première Armée française, Paris, Plon, 1949

Legion of merit (légionnaire) attribuée au Père Fouquer, aumônier du 501e régiment de chars de combat et des Espagnols du 3e régiment de marche du Tchad. Débarqué en Normandie avec la 2e DB le 1er août 1944, il accompagnera le 501e RCC à Alençon, lors de la libération de Paris, à Strasbourg, puis, devenu aumônier divisionnaire, jusqu'à Berchtesgaden.

Cette décoration fut créée en juin 1942 pour récompenser les services rendus depuis septembre 1939 par les membres des forces armées des pays alliés des Etats-Unis d'Amérique.