La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Entre le 4 juin 1944, date de son homologation par Londres, et le 8 août 1944, date à laquelle il est investi par les troupes allemandes, le terrain "Virgule" a permis la réception de 6 (ou 7 selon les sources) parachutages de matériel et d’hommes. Il était placé sous la surveillance de la compagnie Marc Haguenau.
Groupe du bataillon Carmagnole à Villeurbanne, après la libération de la ville en septembre 1944.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésMembre actif de la 35e Brigade FTP-MOI depuis octobre 1942, Joseph Waschpress devient en 1943 responsable militaire des FTP-MOI pour la Haute-Garonne et le Tarn-et-Garonne puis est muté en Dordogne avec la fonction de responsable militaire pour le Lot-et-Garonne, le Gers et la Dordogne.
© Service historique de la Défense Droits réservésPhotographies anthropométriques des frères Claude et Edmond Lévy, Toulouse, 9 décembre 1943
© Archives départementales de la Haute-Garonne Droits réservésDans cet extrait, Maurice Hausner relate la transition de l'Armée juive vers l'Organisation juive de Combat et évoque la Main Forte.
Cet entretien a été enregistré en 2006 pour la réalisation du film de Bryan (Barak) Bard Ich Bin Jude! Ich Bin Jude! (mars 2012).
Extraits du témoignage d’Arnold Mandel
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésAttaque du train entre Labruguière et Mazamet : vue des rails disloqués par la charge explosive du commando américain.
© Amicale des maquis de Vabre Droits réservésExtrait de David Knout, Contribution à l’histoire de la Résistance juive, Paris, Ed. du Centre, 1947, pages 142-143.
Jacques Ravine, son épouse et leur fille en 1942 à Paris.
Militant communiste polonais devenu l’un des cadres de la section juive de la MOI après son arrivée en France, Jacques Ravine est l’un des co-fondateurs en septembre 1940 de l’organisation « Solidarité » qui sert de couverture à la reconstitution dans la clandestinité de la section juive interdite en septembre 1939. Il participe ensuite, à partir du printemps 1941, au développement de la MOI en zone sud.