Le 9 mars 1943, Ramon Garrido est signalé comme appartenant au Parti communiste espagnol en France. Cette note n'a pas eu de conséquence puisqu'à cette date, il se trouvait incarcéré à la Santé sous une fausse identité.

Le 15 décembre 1942, Ramon Garrido est incarcéré à la maison d'arrêt de la Santé sous la fausse identité de Léon Cerrero Mestre. Il y restera en cellule jusqu'au 17 décembre 1943, date de son transfert à la maison centrale d'Eysses (Lot-et-Garonne).C'est au moment de son transfert que ce document a été établi.

Extrait des minutes du greffe de la section spéciale de la cour d'appel de Paris mentionnant le jugement prononcé le 11 décembre 1943 à l'encontre de Léon Carrero (Ramon Garrido).

Cette fiche constitue le premier élément du dossier pénitentiaire de Ramon Garrido ; elle a été établie lors de son arrivée à la maison centrale d'Eysses le 18 décembre 1943.

Suite à l'arrestation de Ramon Garrido à Paris le 30 novembre 1942, une perquisition est effectuée à son domicile le lendemain à Rennes.

Attestation délivrée le 26 mars 1958 par Vincente Laso en faveur de Ramon Garrido

Attestation délivrée le 26 mars 1958 par Celso Diaz Gimenez en faveur de Ramon Garrido

Le 16 décembre1942, le juge d'instruction au tribunal de première instance du département de la Seine, ordonne l'incarcération de Léon Carrero Mestre (faussi identité de Ramon Garrido) à la maison d'arrêt de la Santé.

Témoignage du commandant Roque CARRION, chef du 2e bataillon FTP de Lorient, colonel de l'armée de l'air espagnol, sur les combats en Bretagne de Ramon Garrido.

Attestation délivrée le 3 avril 1958 par Candido Miranda, ex-capitaine FFI, chef du 5e bureau à l'état-major des Guerilleros espagnols, en faveur de Ramon Garrido.