La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
L'Histoire a surtout retenu le drame d'Oradour-sur-Glane mais le 10 juin 1944, la division Das Reich massacrait des dizaines de civils en Midi-Pyrénées, en représailles d'actes de résistance. Dans les secteurs de Marsoulas, on compte 32 victimes, et 57 vers Bagnères-de-Bigorre et Pouzac.
© Service historique de la Défense Droits réservésAu lendemain du massacre d'Oradour-sur-Glane où 642 personnes avaient été tuées, des secouristes de la Croix-Rouge française, originaires de Haute-Vienne, dirigés par le Chanoine Schneider, avaient mené dans des conditions effroyables, une mission particulièrement difficile : récupérer et identifier les corps des victimes lorsque cela était possible, leur donner une sépulture et rassembler les cendres de l'église.
© Collection Fabrice Bourrée Droits réservésAu recto : vue extérieure de l'église
Au verso : le maître-autel
On a parfois retrouvé après la guerre sur des soldats allemands des photographies d’arrestations, voire d’exécutions de résistants ou de civils. Mais tel n’a pas été le cas pour le massacre d’Oradour.
© Service historique de la Défense Droits réservés"Note générale n° 5", 21 novembre 1943 (sur les émoluments versés au personnel des réseaux)
© Archives municipales de Tours Droits réservésDocument intitulé "Note générale n° 1", daté du 2 août 1943
© Archives municipales de Tours Droits réservésImplanté dans le secteur de La Rochette (Savoie), le maquis du Bourget-en-Huile rassemble les futurs combattants des Forces françaises de l'intérieur (FFI) qui s'entraînent au maniement des armes et au combat.
© Collection privée famille Schneeweis Droits réservésLe parachutiste américain James Flanagan (2nd Platoon, 1-502nd Parachute Infantry Regiment, 101st Airborne) tient un drapeau nazi capturé lors de l'assaut du village de Ravenoville le 6 juin 1944.
© US-Army history images Libre de droits
Le 5 juillet 1944, les cheminots d'Ambérieu, de connivence avec les maquisards du camp Verduraz, s'emparent de la cargaison de tabac transportée par un train au niveau de Torcieu puis renvoient les wagons et la locomotive sans chauffeur en marche arrière en direction de l'aiguillage d'Ambérieu où le télescopage provoque cet enchevêtrement de wagons.
© coll.Musée départemental d'Histoire de la Résistance et de la Déportation de l'Ain et du Haut-Jura Droits réservés