Monseigneur Jules Saliège, archevêque de Toulouse

Georges (12 ans), Clément (10 ans) et Bernard (8 ans) Bidermann, posant avec l'étoile jaune, rue des Pyrénées à Paris XXe, juin 1942.

Le 29 août 1942, 450 Juifs, dont 68 enfants, habitant la région de Limoges, arrêtés à leur domicile et rassemblés au camp de Nexon, furent livrés aux nazis par le gouvernement de Vichy et déportés vers le camp d'extermination d'Auschwitz.

Dans la nuit du 10 au 11 novembre 1943, un buste de Marianne a été placé sur le socle d'une statue se trouvant place Edgar Quinet à Bourg-en-Bresse. Un drapeau tricolore avec une croix de Lorraine a été posé à cet endroit. L'inscription "Vive la 4e" a été écrite au goudron sur le piédestal du monument. 

Le journal Libération est un des premiers à reproduire la déclaration du général de Gaulle aux mouvements de résistance, rapportée de Londres par Christian Pineau. Ce texte méconnu, eu égard à son immense importance, trace les grandes lignes de ce que devait être la France à sa Libération et est de ce fait à la fois le repère qui permît que la confiance puissent naître entre Résistances intérieure et extérieure et la première amorce d’un programme politique de la résistance.

Pierre de Vomécourt, chef du réseau Autogiro du Special Operations Executive

Journal clandestin Valmy n°2 de février 1941 (au recto) et numéro 8, le dernier numéro, d'août 1941 (au verso)

Le titre de ce journal clandestin reprend le nom de la victoire française contre les armées austro-prussiennes la veille de la proclamation de la République en septembre 1792.

Le plus grand mouvement de résistance de la zone sud s’est constitué autour de feuilles clandestines de plus en plus diffusées : Bulletin du mouvement de libération nationale, Liberté, Petites Ailes de France, Vérités et, à partir de décembre 1941, Combat, qui finira par tirer à 300000 exemplaires, avec des éditions régionales.

Document comportant des instructions concernant la rédaction de rapports émanant de Libération-Nord Indre-et-Loire, 18 novembre 1942

Document émanant sans doute du BCRA, donnant des instructions  sur les conditions requises pour faire homologuer par l'aviation britannique un terrain d'atterrissage ou de parachutage clandestin.  Le tampon "18 novembre 1942" peut aussi bien désigner la date de réception de ces instructions en métropole que celle de la rédaction du document.