La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Plaque apposée avenue de la Chesnaie à Combs-la-Ville en hommage à Albert Margoline, tué le 21 août 1944 par les Allemands.
© Collection Jean Novosseloff Droits réservésStèle, située en bordure de la départementale 40, dédiée à trois civils tués par les Allemands au château de Chapuis (hameau de la commune de Pamfou).
© Collection Jean Fornage Droits réservésLa mosaïque a été dévoilée lors de la cérémonie de « baptême » du stade nautique le samedi 19 avril 1980 en présence de Gilbert Bonnemaison, maire d’Epinay-sur-Seine de 1967 à 1995. Il prit le nom de « Stade nautique Fernand Bélino ». La mosaïque fut exécutée par l’atelier Lazaretto d’après un dessin de Boris TASLITZKY (1911-2005), peintre réaliste socialiste et ami de déportation de Fernand Bélino. Elle rappelle qu’il aimait les arts, le travail, la vie et surtout la liberté.
© Archives municipales d'Epinay-sur-Seine Droits réservésMinistère de l'intérieur, sureté nationale, photographie anthropométrique, CSS de Nexon, cliché n° 5695, Belino Albert, né le 30 janvier 1910 à Aubin, Aveyron.
© Archives nationales Droits réservésFormulaire officiel dressant la liste des effets remis à Fernand Belino lors de son transfert de la prison militaire de Villefranche-de-Rouergue à la maison centrale de Nîmes le 4 décembre 1940.
© Archives départementales de Lot-et-Garonne Droits réservésCourrier du directeur de l'administration pénitentiaire, Fernand Contencin, au directeur de la maison centrale de Nîmes, daté du 8 décembre 1942, l'informant du rejet le 30 septembre précédent de la demande de libération conditionnelle formulée par Fernand Belino. Ce dernier en est avisé le 12 octobre 1942.
© Archives départementales de Lot-et-Garonne Droits réservésSuite à la condamnation prononcée par le tribunal militaire de Périgueux le 28 octobre 1940, Fernand Belino est incarcéré à la prison militaire de Villefranche-de-Rouergue (Aveyron) le 15 novembre 1940 (numéro d'écrou : 262). De là, il sera transféré à la maison centrale de Nîmes le 4 décembre 1940.
© Archives départementales de Lot-et-Garonne Droits réservésJugement de condamnation prononcé par le tribunal militaire de Périgueux à l'encontre de Fernand Belino le 28 octobre 1940.
© Archives départementales de Lot-et-Garonne Droits réservésExtrait du registre d'écrou de la maison centrale d'Eysses sur lequel figure l'incarcération de Fernand Belino
Pour en faciliter la lecture, nous avons divisé ce document en deux parties (recto-verso).
Film amateur réalisé par monsieur Lepsâtre le 25 août 1944 à Arcueil, au lieu-dit La Vache noire.
© Archives départementales du Val de Marne Droits réservés