GermaineTillion chez elle à Saint Mandé avec sa chienne, Touisa, février 2003

Observatrice au procès de Hambourg pour le compte de l'ADIR et de la Fédération des déportés, Germaine Tillion prend de nombreuses notes et établit un plan de la salle durant le procès. 
Au verso, plan de la salle avec les emplacements des accusés, avocats, juges, témoins....
Au verso, liste des 16 accusés avec indication de leur emplacement dans la salle

Note adressée par Paul Hauet à Germaine Tillion le 6 octobre 1941

Lettre adressée par le commandant Bouret, secrétaire général adjoint du Comité d'assistance aux troupes noires, à Germaine Tillion, le 30 juillet 1941.

Le document entièrement rédigé en chaouia porte la mention en français : "notes prises en sunili chaouia après le 23 février 1942"

Sil Ghazali est un des hôtes de Germaine Tillion, dans l'Aurès.

Germaine Tillion, photographiée en 1935 en Algérie durant ses recherches ethnographiques au sein de la société des Chaouias.

Le numéro 29, mai-juin 1951, du journal "Voix et visages", bulletin mensuel de l'association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) consacre deux pages à la Commission d'enquête internationale contre le régime concentrationnaire.

Photographies des jambes de deux jeunes filles polonaises, victimes des expériences « médicales » du SS Professeur Gebhardt. Ces photos prises clandestinement par des déportées polonaises, étaient sur une pellicule que Germaine Tillion a cachée sur elle pendant six mois et sortie clandestinement du camp dans une boîte de lait en poudre lors de la libération par la Croix Rouge suédoise le 23 avril 1945, après une dernière fouille.

Projet de tract rédigé de la main de Germaine Tillion en octobre 1941