La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Carte de train de Germaine Tillion délivrée lors d'un voyage en Belgique en septembre-octobre 1929
© Association Germaine TILLION Droits réservésDans le cadre d'une série de témoignages de personnalités ayant marqué le 20e siècle qui s'achève, interview de Germaine TILLION. Célèbre résistante, elle parle de sa déportation à Ravensbrück, du souci de rapporter la vérité qui l'a toujours animée, de son désir de témoigner contre tous les crimes de guerre, de son dégoût de la peine de mort.
© INA Droits réservésGermaine Tillion, déportée à Ravensbrück, évoque son arrivée au camp en octobre 1943 et les blocs de quarantaine destinés à détecter les épidémies. Sa description des camps se résume en quelques mots : l'odeur et la perception de la mort.
© INA Droits réservésGermaine Tillion, âgée de 5 ans, coiffée de la toque de magistrat de son père, Lucien Tillion
© Association Germaine TILLION Droits réservésLe 22 octobre 1942, Germaine Tillion est inculpée, par la Gestapo, pour cinq motifs : organisation de groupe de résistance, espionnage, évasion, hébergement d'agents alliés, assistance à des familles de déportés. Le 23 janvier 1943, elle adresse au tribunal allemand un rapport pour contredire l'acte d'accusation. [voir album joint]
© Archives nationales Droits réservésLe 28 mai 1943, alors que Germaine Tillion est détenue à Fresnes, les objets qu’elle-même et Thérèse Rivière avaient rapportés de leurs missions sont présentés au Musée de l’Homme, et le resteront jusqu’en mai 1946, dans une exposition L’Aurès ouverte à l’initiative de leur collègue Jacques Faublée.
© Flickr / Jean-Pierre Dalbera Libre de droitsVue de l'ensemble des cartons et fichiers composant le fonds Germaine Tillion du Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon Droits réservésRelevé des effectifs du camp de concentration de Ravensbrück sur lequel apparaît le nom de Germaine Tillion avec son état-civil.
© SIR / ITS Droits réservésLe numéro 5, janvier 1947, du journal "Voix et visages", bulletin mensuel de l'association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) expose le rapport de Germaine Tillion, observatrice au procès de Hambourg pour le compte de l'ADIR et de la Fédération des déportés.
© Département AERI de la Fondation de la Résistance Droits réservésLe numéro 6, février1947, du journal "Voix et visages", bulletin mensuel de l'association des déportées et internées de la Résistance (ADIR) expose le rapport de Germaine Tillion, observatrice au procès de Hambourg pour le compte de l'ADIR et de la Fédération des déportés.
© Département AERI de la Fondation de la Résistance Droits réservés