La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Article intitulé "Les chefs miliciens Durupt, Gérin père et fils répondent de leurs forfaits", paru en première page de La Marseillaise, édition du 19 février 1946
© Archives départementales des Bouches-du-Rhône Droits réservésArticle paru dans le journal clandestin Le Jeune enchaîné (non daté), rubrique « Notre vie » (en haut au centre de la page).
© Musée de l'Histoire vivante Droits réservésLe Commandant Binoche, chef d'état-major des FFI de l'Ardèche, sans date (après-guerre)
© Musée de l’Ordre de la Libération Droits réservés" Principes du syndicalisme français " ou " Manifeste des douze ", adopté et signé le 15 novembre 1940 par Maurice Bouladoux, Oreste Capocci, Léon Chevalme, Albert Gazier, Eugène Jaccoude, Robert Lacoste, Pierre Neumeyer, Christian Pineau, Louis Saillant, Gaston Tessier, Victor Vandeputte et Jules Zirnheld.
© Wikisource Libre de droitsJournal Le Provençal, 18 septembre 1944
© Collection Alain Giacomi Droits réservésLe 31 août 1944, la compagnie reçoit la mission de passer le col de Chavière pour se porter au Polset et prendre part à la libération de la Maurienne. Le résistant Jean-Pierre Rozier est au premier plan.
© Archives privées de la famille Chappel Droits réservésMémorial d’Espenel en bordure de la route départementale 93 et de la rivière Drôme.
© Archives Alain Coustaury Droits réservésFausse carte d'identité de Max Weinstein établie au nom de Max Chevalier.
Jeune recrue de l’Union de la jeunesse juive à Lyon en septembre 1943, Max Weinstein s’engage dans la lutte armée au sein des FTP. Après la guerre, il prend une part active à la diffusion de la mémoire des résistants juifs issus de la Main d’œuvre immigrée.
© Archives privées Max Weinstein Droits réservésArticle de presse intitulé "Epilogue", paru dans La Marseillaise, 4 septembre 1944
© Archives départementales des Bouches-du-Rhône Droits réservés