La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Sophie Schwartz accompagnée d'une jeune fille, Larissa Wuzek, qu'elle réussit à cacher pendant la guerre.
Militante communiste très engagée dans les activités d’entraide à l’égard des femmes, Sophie Schwartz fut l’une des deux femmes ayant participé en septembre 1940 à la fondation du mouvement "Solidarité". Membre de la direction juive de la MOI en zone nord à partir de 1942, elle joue un rôle de premier plan dans la mobilisation des femmes contre l’occupant et le régime de Vichy et pour le sauvetage des enfants.
Dans le Vercors, après l'ordre de dispersion de la Résistance du 23 juillet 1944, le commandant donne de nouvelles directives au capitaine Paul Pons.
© Albert Fié Droits réservésPortrait de Wladyslaw Sikorski, commandant en chef et inspecteur général des forces armées polonaises
© Wikimedia commons Libre de droitsTémoignages d’Edgard Franchot et Fernand Chabert extraits du documentaire « Eysses, une prison dans la Résistance » (Amicale d'Eysses / IFOREP).
© Association nationale pour la mémoire des résistants et patriotes emprisonnés à Eysses Droits réservésCette plaque évoque une des multiples péripéties vécues par les déportés, le passage à pied de la rive gauche à la rive droite de la rivière Drôme.
© AERD Droits réservésFeuillet conservé dans le cahier de textes de Marie-Juliette Ménard, élève de 1ère au collège-lycée Joachim Du Bellay d’Angers, année scolaire 1940-1941.
Ce document, assez unique, a été retrouvé dans le cahier de Marie-Juliette Ménard. Cette élève imagine avec humour, l’enterrement d’Adolf Hitler. Écrire ceci pouvait pourtant avoir de lourdes conséquences, d’autant que son établissement subit, entre 1940 et 1943, la présence des troupes d’occupation allemandes. De janvier à mars 1943, la Gestapo procède même aux arrestations et déportations vers Ravensbrück de la directrice, de la gestionnaire et de professeures, toutes accusées d’entretenir un « esprit anti allemand » et de cacher des jeunes filles juives. Depuis 1945, la mémoire des disparues, enrichie des témoignages des survivantes, est honorée chaque année.
Pierre Georges, dit "Colonel Fabien", commandant du secteur FTP Seine-Sud et du détachement de la garde, groupe de choc susceptible d'agir aux quatre coins de l'agglomération
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésUne automitrailleuse passe sous l'arc de triomphe à Nevers. Il s'agit de l'automitrailleuse du capitaine "Julien" (Pierre Henneguier).
© ARORM, Association pour la Recherche sur l’Occupation et la Résistance en Morvan Droits réservésYves Farge, président du Comité d'action contre la Déportation (CAD) et Commissaire de la République pour toute la région lyonnaise
© Musée de l’Ordre de la Libération Droits réservésSur cette photographie, le commissaire divisionnaire Pierre Bourgoin arbore une décoration américaine : la Silver Star (voir recto)
© Musée de l’Ordre de la Libération Droits réservés