
La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Plaque située sous le porche de l'église de Marsoulas (Haute-Garonne)
© Collection privée Droits réservésEn bordure de la D.907 à la sortie du village en direction de Saint André de Valborgne se trouve le cimetière du maquis de l'Aigoual Cévennes, en un lieu plus facile d'accès que le modeste monument du "Bidil" lieu de l'attaque du 1er juillet 1943 et à proximité de la tombe de Marcel BONNAFOUX "commandant Marceau", chef militaire du maquis, tué au Vigan lors des combats de la Libération.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésLa 1re Compagnie de Chars de Combat de la France Libre durant la campagne du Gabon avec ses H39
© Musée de l’Ordre de la Libération Droits réservésAu recto, portrait d'Henri Durel. Au verso, sa carte de membre des anciens du mouvement CDLR.
© Collection Jean-Claude Durel Droits réservésRaymonde Lantheaume est une des nombreuses agents de liaison drômoises.
© Le Dauphiné Libéré, 2 juin 1994 Droits réservésAffiche éditée par Libération en août 1944
© Bibliothèque municipale de Lyon Libre de droitsLe Comité de libération de Montélimar est présenté nominativement et par organisation.
© Archives communales de Montélimar Droits réservésDans le centre ancien du Vigan, place de Bonald, un bloc de granit sculpté par Miletto a été scellé, à l’endroit même où fut mortellement atteint Marcel Bonnafoux dit "commandant Marceau", chef du corps franc du maquis Aigoual-Cévennes le 10 août 1944. Ce jour-là les chefs du maquis de l’Aigoual-Cévennes décidèrent d’attaquer la garnison allemande composée de 18 hommes chargés de la protection des lignes téléphoniques. Au cours de l'engagement le commandant Marceau fut abattu par une rafale de mitraillette.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésJean Pélissier, responsable militaire de Libération-Nord pour la Seine-et-Oise et nommé commandant des FFI de Seine-et-Oise sud (mars 1944)
© Service historique de la Défense Droits réservés