Plaque apposée sur la façade du collège de Goussainville

Témoignage de Pierre Dumas recueilli par Jean-Olivier Viout dans le cadre d'un vidéogramme réalisé par l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre de la Savoie.

Photographie représentant Léonce Dussarrat, dit "Léon des Landes", chef départemental des FFI, et Charles Lamarque-Cando, dit "Carlos", président du CDL des Landes, fin août 1944

Comme chaque année, à la fin septembre, les anciens du maquis Pierre et leurs amis se réunissent à Saint-Pons, hameau de Condorcet, chez Madame Gras : lors de la réunion, le chef du maquis, le colonel Challan Belval, prend la parole.

Le monument se situe à quelques centaines de mètres de la ferme d'Ambel.

Un groupe d'hommes avec des brassards FFI posent assis et debout avec un exemplaire du journal l'Humanité. Sur la table devant eux sont disposées de nombreuses, armes, munitions, dont une grenade à manche allemande.

Etienne Ferrari, membre du groupe " action " choletais de Libération-Nord

André Rondenay, délégué militaire de la région P (janvier 1944) puis DMR de la zone Nord (avril 1944).

Le 23 août 1944, le 11e régiment de la 5e division d’infanterie américaine entre à Fontainebleau par les routes de Milly et de Malesherbes et se rue sur le pont de Valvins où se déroulent de farouches combats, les Allemands s'accrochant à la rive droite (Samoreau et Vulaines). 

"Titi est vengé" aurait déclaré Pierre Georges le 21 août 1941 après avoir tiré sur l’aspirant de marine Moser au métro Barbès-Rochechouart. Militant des Jeunesses communistes, Samuel Tyszelman fut l’un des tous premiers membres des Bataillons de la jeunesse créés par le Parti communiste au début de l’été 1941 pour développer la lutte armée contre l’occupant. Il fut également le premier de ces combattants à être arrêté et exécuté par les Allemands.