Mediathèque

La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.

Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Sénas, Bouches-du-Rhône

Sur le Monument aux Morts érigé sur la place de Sénas, une plaque reprend les noms d’Albert Chabanon et d’André Aune sous le texte :  «  Sénas, à ceux qui sont morts pour que vive la France - Résistance »

Cliché et légende : Pierre Ciantar (2017) - Tous droits réservés.

Rue Albert-Chabanon, Marseille, 6e arrondissement

Anciennement Rue Puget, cette rue porte le nom d’Albert Chabanon par délibération municipale du 19 juillet 1945 - Albert Chabanon, natif de Marseille, avait son poste de commandement au 10 de cette rue

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Ecole Albert Chabanon, Marseille 6e arrondissement

À proximité de l’entrée de l’école primaire qui porte le nom d’Albert Chabanon, dans la rue qui porte son nom, est scellée une plaque portant l'inscription : « Albert Chabanon, dit Valmy, né à Marseille le 15 mai 1916*, ancien élève de l’École Normale Supérieure, Chef Régional des Jeunes et de l’OU (Organisation Universitaire), des Mouvements Unis de la Résistance, créateur du journal clandestin LE MARSEILLAIS, fusillé par la gestapo le 18 juillet 1944 à Signes (Var) »

[* en fait, le 13 mai]

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Panthéon

Au Panthéon, dans l’espace réservé aux écrivains morts pour la France, le nom d’Albert Chabanon est inscrit, comme celui de François Cuzin, parmi les nombreux écrivains morts durant la Seconde Guerre mondiale

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Sénas, Bouches-du-Rhône

Sur le Monument aux Morts érigé sur la place de Sénas, une plaque reprend les noms d’André Aune et d’Albert Chabanon sous le texte : « Sénas, à ceux qui sont morts pour que vive la France Résistance »

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Marseille, 6e arrondissement

Anciennement Boulevard Gazzino, ce boulevard porte le nom d’André Aune, natif de Marseille, par délibération du conseil municipal du 19 juillet 1945

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Marseille, 6e arrondissement

Au commencement du boulevard André-Aune, à l’angle avec le cour-Pierre-Puget, sur la façade du n° 1, le nom du boulevard est accompagné d'une plaque rendant hommage à André Aune

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Oraison, Alpes-de-Haute-Provence

À l’entrée du village d'Oraison, une stèle en marbre a été érigée en hommage aux résistants arrêtés lors du piège dressé par les Allemands, le 16 juillet 1944 - Sur cette stèle et sous l’inscription : « 1944 -  Aux résistants arrêtés à Oraison le 16 juillet - Fusillés le 18 à Signes (Var) » sont inscrits les noms des 11 résistants assassinés, parmi lesquels celui d’André Daumas

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Cimetière d'Oraison, Alpes-de-Haute-Provence

Sur le Monument aux Morts du cimetière d’Oraison, à la base de la stèle, une plaque a été apposée sur laquelle sont inscrits les noms des quatre résistants domiciliés à Oraison et fusillés à Signes - le texte figurant sur la plaque « Aux Martyrs de Signes » se termine par la mention : « Lâchement assassinés par les Allemands et les miliciens le 19 juillet 1944 »

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Oraison, Alpes-de-Haute-Provence

Le nom d’André Daumas, tout comme ceux de ses trois compagnons d’infortune domiciliés dans le village, Roger Chaudon, Émile Latil et Terce Rossi, ont été donnés à des rues d’Oraison - ici, l'avenue du Docteur-André-Daumas

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