La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Vue aérienne 1939-1940
Mémorial de l'internement et de la déportation - camp de Royallieu
Au lycée Masséna de Nice, le nom de Francis Ninck figure dans la longue liste des anciens élèves du lycée morts durant la Seconde Guerre mondiale - l’identification tardive de son corps dans le charnier de Signes explique sans doute que son nom ne figure pas sur la plaque située en partie basse du monument et dédiée « Aux élèves et anciens élèves martyrs de la Résistance »
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Sur le monument départemental érigé à Manosque « Aux martyrs de la Résistance des Basses-Alpes », le nom de François Cuzin est inscrit dans la longue liste des victimes de la répression classées par villes et villages, à l’emplacement dédié aux résistants de Digne
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Dans le hall d’entrée du Lycée Gassendi de Digne, une plaque commémorative a été apposée en hommage à François Cuzin. Sur cette plaque on peut lire : « Ancien élève de l’École Normale Supérieure. Professeur agrégé au lycée de Digne. Un des grands chefs de la Résistance des Basses-Alpes. Mort pour la France. Assassiné à Signes (Var) le 19 juillet 1944 par la Gestapo et la Milice » - François Cuzin enseigna la philosophie au lycée Gassendi de Digne pendant l’année scolaire 1943/1944
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À l’entrée d'Oraison, une stèle en marbre a été érigée en hommage aux résistants arrêtés lors du piège dressé par les Allemands le 16 juillet 1944 - sur cette stèle, sous l’inscription : « 1944 - Aux résistants arrêtés à Oraison le 16 juillet - fusillés le 18 à Signes (Var) », sont inscrits les noms des onze résistants, parmi lesquels celui de François Cuzin
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Avenue François-Cuzin, sur laquelle est située le lycée Gassendi, où François Cuzin enseignait la philosophie entre 1943 et 1944
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Le nom de François Pelletier a été donné à une rue de Cogolin (Var) - C’est dans ce village que François Pelletier a été hébergé après son parachutage chez Pattachini et c’est à partir de Cogolin qu’il aménagea un point de chute pour les liaisons maritimes dans la baie de Cavalaire
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Au col de Vignon, dans la commune de La Garde-Freinet (Var), sur la route départementale 74, a été apposée une plaque rappelant la création du Maquis de la Mourre : « Résistance et Brigade des Maures. Le 6 juin 1944, sur ce sommet dans une ferme voisine détruite à l’explosif par l’ennemi le 25 juillet 1944, le sous-lieutenant François Pelletier, officier parachuté d’Alger, arrêté à Saint-Tropez le 24 juillet 1944 et massacré à Signes (Var) le 12 août 1944, a créé le Maquis d’instruction de la Mourre pour que vivent la France et l’Humanité » - une autre plaque située sous celle-ci rend hommage à « son compagnon » Muthular d’Errecalde, Lucas, officier américain de la mission interalliée, arrêté le même jour à Saint-Tropez et massacré à ses cotés à Signes, le 12 août 1944
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