Aquarelles réalisées par le maquisard Christian Disandro à partir de dessins croqués en 1944

La légende manuscrite de l'auteur indique « Le camp dans la montagne, au-dessus du village de La Rase*-Désaignes - 1944 »

Brevet de la médaille coloniale attribué au sergent-chef Guillaume du régiment de Tirailleurs sénégalais du Tchad. 
Au verso, photographie d'identité de Jean-Charles Guillaume (SHD 16 P 278 013)

Portrait de Roland Paulze d'Ivoy de la Poype, compagnon de la Libération par décret du 29 décembre 1944, titulaire de nombreuses décorations soviétiques.

L'Ordre de Lénine est la plus haute distinction civile soviétique.

Carte des secteurs de résistance envoyée par Alain Le Ray, Bastide, chef FFI de l'Isère, à l'état-major du secteur 3 à l'été 1944

Créé le 16 septembre 1918 par décret du Comité central des Soviets, cet ordre est destiné à récompenser les militaires et les partisans qui ont accompli des actes exceptionnels de courage au combat, au péril de leur vie. 

Article de presse, dont le journal d'origine nous est inconnu, relatif à l'attribution de la médaille de la résistance belge à 59 membres du réseau Zéro-France. Il s'agit d'une décoration belge créée par arrêté du Régent en date du 16 février 1946.
Au verso : attributions de la même décoration à trois habitants de Neuville-en-Ferrain (Nord) "membres de la section WO Libre Résistance franco-belge" (probablement le réseau Sylvestre-Farmer).

Document communiqué par l'Amicale des maquis de Vabre.

Début 1945, Odile de Rouville écrit un recueil sur l'histoire très récente des Maquis de Vabre, le titre empruntant à la phrase qui annonce les parachutages sur "Virgule", le terrain des Maquis de Vabre. Elle le signe en empruntant le nom de résistant de son mari, "Paul Roux".

Imprimé à Albi la même année, il est aujourd'hui épuisé dans sa version papier. Cette édition électronique assortie de quelques notes complémentaires et d'une carte du secteur de Vabre, est là pour y pallier.

Dans son récit, Robert Bothereau nous entraîne dans la Résistance, la Résistance au régime de Vichy et à sa Charte du travail qui voulait mettre le syndicalisme sous tutelle. Après la défaite, le Bureau Confédéral se replie à Toulouse en juillet 1940, Robert Bothereau, qui fut le premier secrétaire général de la CGT-FORCE OUVRIÈRE, écrit sur cette période : « Nous préparions notre résistance, celle d’abord de la lutte pour la survie du syndicalisme que Vichy mettait en cause et allait mettre en péril. »

Poème à double lecture