La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Recto - Deux plaques apposées sous une arche du pont de Planque : l'une rappelle la tragique fin de Roger BROUSSOUS, l'autre en-dessous à la mémoire de Raymond BESSÈDE abattu par les SS, de Jean-Louis BAUDOIN, de Robert ROSSE et de René KIEFFER 24 ans arrêté chez lui le 28 février au matin.
Verso- Le pont de Planque (Viaduc SNCF) où le 28 février 1944 à 11h, le jeune BROUSSOUS fut pendu par les SS.
Plaque inaugurée le 11 novembre 1994 par la municipalité de Villeneuve lès Avignon.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésMémorial situé à L'Espérou au croisement de la D.896 et D.548, sur le GR7.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésUne plaque à la sortie du village commémore le maquis et l’attaque allemande du 29 février 1944
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésBerceau du maquis A.S. de la Soureilhade, fondé par le pasteur OLIVÈS, ce petit hameau fut un refuge pour les proscrits et les réfractaires et abrita l’école des cadres du maquis.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésUne stèle en pierre de pays portant une croix de Lorraine et l'inscription "à Henri MAURIN dit "Truiton" ceux du "maquis Aigoual-Cévennes" se trouve à Valleraugue sur le flanc de la montagne, dominant les routes traversant la localité.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésDeux plaques ont été apposées sur le monument aux morts. La première rappelle la mémoire d'Alexandre SIRVINS dit "Toto" : arrêté le 7 mai 1944 par les miliciens d'Uchaud, emprisonné au Fort Vauban à Alès, il fut torturé, abattu et précipité dans le Puits de Célas. La deuxième plaque, outre le nom de Sirvins, porte sept noms et est dédiée aux enfants d'Uchaud morts pour la France.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésAimé SAUVEBOIS dit "Jimmy", réfractaire au STO, il rejoignit le maquis de La Picharlerie dans la Vallée Française. Blessé et capturé lors d'une attaque allemande le 8 avril 1944, il fut fusillé à Montpellier le 31 mai 1944. Il avait 23 ans.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésSépulture de Jean Vigne, résistant communiste, fusillé à Eysses le 23 février 1944
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