La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Au dépôt des locomotives 97 rue Pierre Sémard les cheminots ont élevé une stèle sur laquelle sont gravés 27 noms de cheminots morts par faits de guerre.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésUne plaque boulevard du Sergent Triaire dans le hall de la gare SNCF apposée par le "Collectif Histoire et Mémoire" (en présence des représentants de l’État et des élus du département) a été inaugurée le 21 octobre 2012 "À la mémoire des enfants juifs" transférés en Camp d’extermination par train en 1942 : elle porte le nom et l'âge des 50 enfants déportés à Sobibor ou Auschwitz.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésPlaque située à l’hôtel Silhol, avenue Feuchères, à la mémoire de Jean LOSI résistant, tué le 23 août 1944 lors de la libération de la ville, et de quatre gardiens de la paix tués par les bombardements aériens du 27 mai 1944. Cet hôtel, actuellement tribunal administratif, fut le siège de la Milice.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésTrois plaques, rappelant les pendaisons exécutées par des éléments de la 9ème Panzer Division SS du général Bittrich, en fin d'après-midi du 2 mars 1944 se trouvent sur :
- le mur du lycée Camargue, avenue Jean Jaurès (6 pendus)
- sur le viaduc SNCF du boulevard Talabot, route de Beaucaire (3 pendus)
- rue Vincent Faïta au Pont de chemin de fer (7 pendus).
Trois plaques, rappelant les pendaisons exécutées par des éléments de la 9ème Panzer Division SS du général Bittrich, en fin d'après-midi du 2 mars 1944 se trouvent sur :
- le mur du lycée Camargue, avenue Jean Jaurès (6 pendus)
- sur le viaduc SNCF du boulevard Talabot, route de Beaucaire (3 pendus)
- rue Vincent Faïta au Pont de chemin de fer.
Trois plaques, rappelant les pendaisons exécutées par des éléments de la 9ème Panzer Division SS du général Bittrich, en fin d'après-midi du 2 mars 1944 se trouvent sur :
- le mur du lycée Camargue, avenue Jean Jaurès (6 pendus)
- sur le viaduc SNCF du boulevard Talabot, route de Beaucaire (3 pendus)
- rue Vincent Faïta au Pont de chemin de fer.
Une plaque, apposée par le barreau de Nîmes en 2010, rappelle que leur avocat Me Charles BEDOS, fut déporté à Mauthausen pour faits de résistance.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésUne plaque de marbre à l'entrée du Palais de justice (ancienne Maison d'arrêt), rappelle la honteuse parodie de justice dont ont été victimes Jean ROBERT et Vincent FAÏTA le 22 avril 1943 "par ordre d'un gouvernement français au service de l'occupant nazi".
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésSur la route de Sommières, près de l'ancien passage à niveau, une stèle avec une croix de Lorraine rappelle qu'en ce lieu Jean LOUBIÈRES, FFI, a trouvé la mort le 23 août 1944. Le convoi C.F.L. auquel il appartenait fut mitraillé par l'aviation alliée qui pourchassait alors les nombreux détachements allemands qui traversaient la région.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésUn monument, érigé en 1945 par souscription publique, près de la Réglisserie au carrefour de la D.936 et de la route conduisant au village, commémore l'accrochage entre un détachement de la 7207e compagnie et une colonne allemande (716e K.I.) à l'aube du 25 août 1944.
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