Mediathèque

La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.

Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères. 

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Alexandre Kowarsky

Fausse carte d'identité d'Edouard Kowarsky établie au nom d'André Costes.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
L'Armée juive

Quand-Même, journal clandestin lancé à Toulouse par l'Armée juive en décembre 1943.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Meyer Sal

Fausse carte d'identité de Meyer Sal établie au nom de Jean Jissel.

© Collection Reine Esther Sal  Droits réservés
Le maquis de l’Espinassier

Patricia Graff-Rubel au premier rang et de gauche à droite : Jean-Jacques Fraicent (Frayman), Jacques Lazarus (Jacquel), Henri Broder, Pierre Loeb et Albert Cohen. Cette photographie a été prise au maquis de l'Espinassier lors d'une tournée d'inspection de Jacques Lazarus en mai 1944.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Le maquis de Biques

Une ferme abandonnée à Biques dans le Tarn devient l'emplacement du maquis M7 bis de l'Armée juive.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Du maquis de Rec à la création d’un maquis juif autonome

En décembre 1943, Raoul Léons adresse un rapport à la direction de l’Armée Juive (AJ) à Toulouse dans lequel il expose « l’utilisation des effectifs AJ dans les maquis des mouvements unis de la Résistance ». Ce rapport fait suite à l’arrivée au maquis de l’Armée secrète de Rec de recrues de l’Armée juive afin d’y suivre un entraînement militaire et conclut que la « création d’un centre indépendant est la meilleure solution ».

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Henri Broder

Membre de l'Armée juive depuis janvier 1943, Henri Broder rejoit le maquis de Biques dans le Tarn en janvier 1944 et y devient l'adjoint de Pierre Loeb. Après l'intégration des maquis de l'AJ au sein du Corps franc de la Montagne noire le 6 juin 1944, Henri Broder devient adjoint au chef de peloton. C'est au sein du "peloton Trumpeldor" qu'il prend part aux combats de la Libération.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Robert Gamzon

Fondateur puis commissaire national des Eclaireurs israélites de France depuis 1939, Robert Gamzon est à l'origine de la Sixième, nom donné à l'organisation clandestine des EIF puis des maquis installés dans la région de Vabre à la Malquière d'abord puis à Laroque et Lacado. En 1944, il commande la 2e compagnie du CFL 10, dit "compagnie Marc Haguenau" qui prend part à l'attaque d'un train allemand à Mazamet et à la reddition de la garnison allemande de Castres.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
La compagnie Marc Haguenau

Montée au front des Vosges de la compagnie Marc Haguenau, début septembre 1944. 

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Le terrain de parachutage "Virgule"

Entre le 4 juin 1944, date de son homologation par Londres, et le 8 août 1944, date à laquelle il est investi par les troupes allemandes, le terrain "Virgule" a permis la réception de 6 (ou 7 selon les sources) parachutages de matériel et d’hommes. Il était placé sous la surveillance de la compagnie Marc Haguenau.

© The National Archives  Droits réservés