La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Ébauche de l'affiche "Depuis 5 ans, ils nous attendent ! Allons à Berlin pour les délivrer", 1944
© Archives départementales de l'Ardèche Droits réservésPierre de Vomécourt, chef du réseau Autogiro du Special Operations Executive
© National Archives, Londres Droits réservésMax Weinstein évoque la diffusion d'imprimés clandestins
© Département AERI de la Fondation de la Résistance Droits réservésPlaque apposée sur la façade de la mairie de Chelles rappelant les noms des habitants de la commune fusillés par l'occupant ou morts en déportation
© Collection Gilles Primout Droits réservésPlaque apposée sur la façade de l'école d'Arçay.
© Musée de la Résistance et de la Déportation de Bourges et du Cher Droits réservésOrgane du Comité national des écrivains, ce journal clandestin est né de l'action conjointe de Jacques Decour (PCF) et de Jean Paulhan. Le premier numéro paraît en septembre 1942 sous la direction de Claude Morgan.
© Bibliothèque nationale de France Libre de droitsPlaque en hommage à Jean-Pierre Timbaud, métallurgiste, militant syndical CGT, fusillé par les Allemands le 22 octobre 1941 à Chateaubriant, située 94 Rue Jean-Pierre Timbaud dans le 11e arrondissement de Paris.
© Cliché Philippe Le Roy Droits réservésLe polygone de tir de la Maltière à Saint-Jacques-de-la-Lande (Ille-et-Vilaine), où furent fusillés de 1940 à 1944 près de soixante-dix patriotes appartenant aux quatre départements des Côtes-du-Nord (Côtes-d’Armor), du Finistère, d’Ille-et -Vilaine et du Morbihan, fait partie des nombreux lieux d’exécutions qui sont devenus des hauts-lieux de la mémoire résistante bretonne.
© Cliché Sébastien Guibert Droits réservés