La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Newspaper "Défense de la France", n°43, August 21, 1944.
© Archives nationales Droits réservésRaymond Bouchet, alias "Minihi ", responsable Libération-Nord de la région rochelaise
© Collection privée Fédération départementale de la Résistance de Charente-Maritime Droits réservésPlaque apposée sur la façade de la gare de Penne-D'agenais rappelant le départ en déportation de cet endroit de 1200 détenus résistants de la centrale d'Eysses.
© Collection Jacqueline Marvier Droits réservésRéseau expliqué par André Vincent-Beaume, un des principaux responsables de la Résistance dans la région de Romans et dans le Vercors.
© Archives départementales de la Drôme Droits réservésLa Maison du Combattant, rue Basse-Moquette à Auxerre, siège d’un petit musée de la Résistance icaunaise ayant fonctionné quelque temps dans les années 1990, mais depuis à l’abandon
© Collection Claude Delasselle Droits réservésPlaque en hommage à Jean Morvan et Albert Di Fusco, tous deux fusillés par les nazis à Caen le 15 décembre 1941, située 26, rue de l'Eglise, Paris XVe
© Département AERI de la Fondation de la Résistance Droits réservésAimé Guerrin photographié en 1929
© Coll. Charles Guerrin Droits réservés"Un bruit s'est répandu la Résistance a délivré le camp de Drancy..."
Une journaliste de la Nouvelle Presse s'entretient avec des juifs récemment libérés de Drancy et hébergés dans les locaux de la Milice patriotique juive, 4 rue des Rosiers. Les rescapés lui racontent leur vie, ou plutôt leur survie, à Drancy : l'alimentation, les déportations, les tentatives d'évasion, les sévices jusqu'à la libération du camp. "Le 19 août, les représentants de la Résistance pénètrent dans le camp et libèrent les internés, journée inoubliable, pour nous rendus à la liberté, à la vie."
Adhérent du Mouvement de jeunesse sioniste en novembre 1943, Jean Brauman rejoint le maquis de l’Espinassier au printemps 1944 et prête serment à l'Armée juive. Au 6 juin 1944, son maquis devient le peloton bleu-blanc du 4e escadron du Corps franc de la Montagne noire. Après l'attaque allemande du 20 juillet 1944, l'unité est dispersée et Jean brauman revient à Toulouse. Repéré, il est envoyé à Lyon où il intègre le corps-franc du CADJJ (Comité d'action et de défense de la jeunesse juive).
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésPremier numéro du journal La Vérité française.
Jusqu'au 25 novembre 1941, date de l'anéantissement du réseau, 32 numéros paraîtront. Ce bulletin, d'abord dactylographié, sera ensuite ronéoté sur une machine entreposée chez Roland Langlois, le garçon de chenil du Dr Lafaye, puis chez la mère de son adjoint le Dr Holstein sur le plateau Montbauron à Versailles. Les créateurs et inspirateurs du journal semblent être les pères Guihaire et Chenault. Lafaye est l'un des principaux rédacteurs du journal sous le pseudonyme de "FT Nel".