La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Plan de la région d'Estivareilles accompagnant le récit des combats par le commandant Marey, chef départemental FFI de la Loire.
© Fondation de la Résistance Droits réservésMembre de l’Organisation juive de Combat (OJC) depuis mars 1944, Rodolphe Frey rejoint un mois plus tard le maquis du Chambon-sur-Lignon.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésEngagé en novembre 1943 au sein du maquis de Chambon-sur-Lignon, Kurt Spiero prend part avec le grade de lieutenant FFI aux combats d'août 1944 à Saint-Geneys (Haute-Loire) puis à Estivareilles (Loire) les 21 et 22 août 1944.
© Service historique de la Défense Droits réservésJoseph Bass (à gauche) et Grigory Ritva dit Gregor, Soviétique engagé de force dans l'armée allemande, soldat de la légion Tartare au Puy-en-Velay, passé au maquis en avril 1944 et devenu commandant du 352e bataillon soviétique des FTP de Haute-Loire.
© Service historique de la Défense Droits réservésMembres de l’Armée juive - Organisation juive de combat (AJ - OJC) au garde-à-vous au Chambon- sur-Lignon
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésJules Dika Jefroykin et son épouse Nina en Espagne en 1944 où ils accueillaient les membres de l'Armée juive (AJ) ayant traversé les Pyrénées.
© G. Loinger, "Les résistances juives pendant l'Occupation" Droits réservésSimon Levitte, secrétaire général du Mouvement de la Jeunesse sioniste, est l'un des fondateurs du Comité d’Action et de défense de la jeunesse juive (CADJJ).
© MRDI- Grenoble Droits réservésCo-fondateur de l'Armée juive à Toulouse en janvier 1942, Aron Lublien est également l'un des initiateurs du maquis de Biques (Tarn) et du corps franc de l'AJ de Toulouse. En 1943, il est responsable régional des corps francs de l’Armée juive en Rhône-Alpes et participe à ce titre aux combats de la libération à Lyon.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésLe Réveil. Journal de la jeunesse socialiste juive de France. Juillet 1944.
© YIVO, RG 1400, B 3 F 17. Droits réservésNuméro clandestin du journal bundiste Undzer shtime [Notre voix], organe de l’Union socialiste juive en France, mai 1944.
Traduit du yiddish par Erez Levy (Centre Medem-Arbeter Ring).