La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Portrait de Guy Môquet largement diffusé depuis la Libération
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésLe Petit Parisien du 23 octobre 1941 publie en page 3 la liste des 48 otages exécutés en application de l'avis émamant du Militärbefelshaber in Frankreich du 22 octobre 1941. La liste indique simplement le nom, le prénom, la localité d'origine et le motif de l’arrestation ou de la condamnation de l’otage. Les otages sont numérotés de 1 à 48. Parmi ces otages figure le jeune communiste Guy Môquet.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésTélégramme allemand en réponse à la demande de fichiers pour constituer les archives du SD, émanant du commandement allemand d'Angers, 25 avril 1943
© Archives municipales de Tours Droits réservésPhotographie anthropométrique de Pierre Georges datée du 4 décembre 1939. La veille, Pierre Georges et son épouse ont été arrêtés pour confection et distribution de tracts communistes.
© Archives départementales de Seine-et-Marne Droits réservésExtrait du rapport journalier de la Préfecture de Police
© Archives nationales Droits réservésTélégramme en réponse à la demande de fichiers pour les archives du SD, envoyé du Mans à destination d'Angers, 20 avril 1943
© Archives municipales de Tours Droits réservésDans la nuit du 16 au 17 juillet 1941, à la suite d'un sabotage effectué par des militants communistes, un train de marchandises se dirigeant vers Noisy-le-Sec a déraillé sur le territoire de la commune d'Epinay.
© Archives nationales Droits réservésLes premiers sabotages ferroviaires effectués en 1941 utilisent des explosifs récupérés et des méthodes artisanales, aux résultats aléatoires. Dans les années suivantes, deux méthodes s’imposeront : le déboulonnage des rails ("détirefonnage") qui exige la complicité directe ou indirecte de cheminots, ou bien la pose d’explosifs plus sophistiqués apportés par des agents français ou britanniques.
© Archives de la Préfecture de Police de Paris Droits réservésDocument allemand sur la constitution d'archives de la SIPO et du SD, sans date
© Archives municipales de Tours Droits réservés